Le Clan de mercenaires de Nedora Riem (DOFUS - Orukam)
 
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 [Histoire] Fukumen-Kigenkai

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   Fukumen-Kigenkai   

Fukumen-Kigenkai
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MessageSujet: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyLun 21 Fév 2011 - 23:22

Hrp/Avant tout chose, je tiens à dire que cet histoire parait complètement déjanté. Dégueulasse, glauque et j'en passe. Je tiens à préciser, qu'il s'agit l'un d'une histoire pour le Rp. Et que je ne suis pas comme ça dans la réalité (encore heureux d'ailleurs).

Mon histoire n'est pas encore totalement terminée./Hrp

_______________________________________________


Nom : Fukumen-Kigenkai
Age : 19 ans
Comportement ? : Instable et imprévisible. Les entrainements commencent à porter leurs fruits.

_______________________________________________
Chapitre 1 : Naissance et origines

Nous sommes en l’an 622, par un mois de Novamaire, alors que les arbres semblent complètement morts et sans vie, une maison est illuminée par un feu de bois. Cette maison est celle d’une modeste famille résidant à proximité de la forêt maudite d'Amakna. Le père est bucheron et la mère est femme au foyer, ce qui ne lui empêcha pas de se perfectionner avec le temps dans la sculpture de bâtons.
D’apparence heureuse cette famille souffrait beaucoup de ne pas pouvoir avoir de progéniture.

Pourtant tout changea, en ce soir de pleine lune du 29 Novamaire. Après tant d’année Erika mis enfin au monde un enfant ; un garçon Ce nouveau né, apparaissait comme un miracle pour cette modeste famille. Le père, du nom de Morlak, n’en revenait pas, il avait un fils. Les parents reconnaissant de ce miracle se mirent à prier le Dieu Sadida, dont le temple se trouvait non loin de là.Persuadé que ce dieu avait un rapport avec le miracle. Ainsi commença ma vie, au sein d’une famille comblée par mon arrivée… pourtant nul personne ne pouvait prévenir ce qui allait se passer bien plus tard.

*

Dès l’âge de 5 ans, mon père m’amena en forêt pour m’apprendre les rudiments du métier. J’étais intéressé, mais dès mon jeune âge je savais pertinemment bien que cela ne serait pas la voie que je suivrais. Je rêvais déjà d’aventure et de conquêtes, les histoires de ma mère m’ayant permis de m’en rendre compte dès mon plus jeune âge.

Ne présentant, plus aucun intérêt pour la coupe du bois, je restais à la maison et j’aidais ma mère dans les tâches ménagères. Avec le temps je m’étais trouvé une passion pour le combat et le maniement de bâton. Je m’entrainais fièrement avec ceux de ma mère. Ce gout pour le combat se répercutait dans mon comportement. A l’adolescence, ce comportement commençait à prendre le dessus. À tel point que je commençais sérieusement à inquiéter mes parents. Mon comportement s’étant étendu aux bagarres dans les lieux publics. J’avais d’ailleurs été plusieurs fois ramené par la milice à la maison. Pour mes parents ce n’était plus possible, l’enfant qu’ils espéraient commençait à leur poser problème et il fallait agir.


Chapitre 2 : Une lourde décision

Il était clair que j’avais besoin de dépenser mon énergie. Que je devais apprendre à me canaliser et pour mon père la réponse était toute trouvée ; il fallait que je trouve le calme et le réconfort par le biais de la nature.
C’est sans hésitation qu’il m’amena au temple Sadida à l’âge de 15 ans. Étant donné que, pour lui Sadida était responsable de ma naissance, il était logique qu’il place son fils sous sa protection.
Le message était clair, le temple était censé donner un sens à ma vie. M’apprendre à canaliser ma violence grâce à la nature. Pour que l’apprentissage porte ses fruits je ne devais plus avoir de contact avec l’extérieur.
Je n’étais pas très emballé au départ, car je me demandais bien ce que je pouvais apprendre de la part de poilus et de maniaque de la poupée.
Les premiers jours et les premières semaines furent, durs, je ne pouvais plus avoir de contact, ormi avec ceux du temple. ... J'étais à deux doigts de disjoncter.

Chapitre 3 : Le début de la formation

Si je voulais débloquer la situation il fallait que j’y mette de la bonne volonté. Après tout, si je me retrouvais là ça ne pouvait qu’être de ma faute. Je l’avais bien cherché…

Ma formation commença donc vers le printemps, lorsque la nature reprenait ses droits sur l’hiver. Je devais apprendre à canaliser ma violence et me plier aux commandements de mon maitre. Il n’était pas question que je lui tienne tête.

Chaque jour était différents, tantôt l’enseignement portait sur la faune, tantôt sur la flore. Cette diversité me permettait de ne pas
me lasser et de ne pas re-sombrer dans la violence.


*

Pourtant, au fond de moi, le désire d’apprendre à me battre correctement et défendre une noble cause était toujours présente. Je ne rêvais que d’une chose depuis mon arrivée, me calmer d’une part mais aussi d’apprendre à faire quelque chose d’utile de ma vie.

Lorsque j’en parlai avec mon maitre, ce dernier me comprit. Et décida de me former pour m’aider à accomplir mon rêve.

Les entrainements furent durs, je devais tout d’abord, avoir une condition physique pour me permettre de suivre. Mais ma détermination était là et je persévérais.Ronce, sur Ronce, Manipulation de poupées sur manipulation je commençais à assimiler les bases de l’enseignement Sadida.

Pourtant ce n’était toujours pas assez pour moi. J’estimais que la force brute n’était pas la seule manière de combattre, avec des plantes il devait forcément il y’ avoir un moyen pour en faire des poisons. En revanche, même si cette idée me trottait dans la tête, je n’osais pas l’aborder avec mon maitre.


Chapitre 4 : La découverte des poisons

Même si mon entrainement commençait à toucher à sa fin, je tenais absolument à apprendre et maitriser l’art du poison.

A ma grande surprise c’est mon maitre qui me proposa cet enseignement. Au fond de moi, une joie non dissimulée se faisait ressentir. J’allais apprendre à blesser et probablement tuer sans que mon adversaire ne s’en rende forcément compte.

La formation était complexe, maitriser et savoir concocter de puissantes toxines n’était pas choses aisées. Il fallait que j’apprenne
chaque plante, que je mémorise leurs effets mais aussi leurs combinaisons avec d’autres plantes. Chaque poison avait sa propre caractéristique, certains ne faisaient que paralyser, d’autre en revanche étaient des neurotoxines, de puissantes toxines capable de détruire un système nerveux et de provoquer une mort quasi immédiate.

Au fond de moi, et malgré la formation de mon maitre, une part de violence était toujours présente. S’imaginer que des plantes pouvaient provoquer la mort était tout simplement jouissif ! Avoir le pouvoir sans forcément le montrer.

Un tel savoir ne devait pas être enseigné à n’importe qui… mais il était déjà trop tard. Mon maitre poursuivait mon enseignement. Et chaque jour, j’en apprenais plus, toujours plus !
*

Un soir, alors que je restais dans la chambre des onguents et des poisons, mon maitre dut s’apercevoir que mon comportement n’était pas si innocent que ça. Je l’intriguais et il m’avoua que mon comportement et mon désire de puissance lui rappelait une des nombreuses légende qu’il pouvait bien connaitre.

Intrigué par de tels propos, je lui demandai de me la raconter… et sans le savoir à partir de ce moment là, cette histoire allait
littéralement changer ma vie.


Chapitre 5 : l'erreur du Maitre

Mon maitre me conta donc l’histoire. Dans cette histoire il était question de masques qui à première vue renfermaient une terrible
puissance et quelque chose d’effroyable.

Intriguée par l’histoire, je lui demandais si en fin de compte elle n’avait un fond de vérité. Je sentit bien que dans la voix de mon
maitre, une certains gène s’en dégageait. Il m’affirma que ce n’était qu’une légende. Au fond de moi, il fallait que j’en aie le cœur net.

*

J’étais intrigué par cette histoire et sans le savoir, plus les jours et les recherches avançaient, et plus je courrais à ma perte. Je fouillais chaque recoin du temple, je posais des questions aux membres pour tenter de leurs arracher des informations.

Mais sans grand succès, je revenais chaque jour bredouille. Mon maitre s’obstinait à me tenir le discours de la non existence de ces masques… je persévérais, je voulais les trouver. C’est limite si je n’étais pas rongé par les échecs dans mes recherches.


*

Je fouillais, je fouillais encore et toujours jusqu’au jour ou, dans la bibliothèque du temple, je vis un livre remplis de mythes et de légendes. Le fouillant avec entrain et avec une certaine détermination je finis par retrouver l’histoire que mon maitre me conta.

Des notes manuscrites étaient griffonnées sur le bas de la page. M’indiquant qu’un autre livre existait, pour traiter de l’affaire. Ce livre, à ma plus grande surprise se trouvait 2 étagères plus haut. Assez bien cachée d’ailleurs, par d’autres plus gros livres.

Je pris ce livre… ce n’était qu’un livre de compte avec des annotations sur les masques. Ils existaient donc bel et bien ! Mon cœur battait si fort, que cela en devenait limite insupportable pour moi. Mes recherches avaient enfin abouties.

Il était question de confiscations de masques, qui à première vue n’étaient que des copies mais cependant tellement bien réussies qu’elles en devenaient dangereuse.

J’avais donc trouvé le livre et prouvé l’existence des masques.


*

Connaitre l’existence des masques c’est une chose, mais ce que je désirais c’était les voir. Les toucher. Voir quel était ce pouvoir ou cette puissance qu’ils renfermaient.

Pour moi il était évident que si un livre se trouvait dans la bibliothèque, c’est que la cachette ne devait pas se trouver si loin de que
ça. C’est donc dans cette optique que je me suis décidé à poursuivre les recherches. En commençant bien évidemment par la bibliothèque.

Après quelques jours, mes recherches portèrent leurs fruits. La cachette ou du moins le moyen d’accès pour y arriver se trouvait bien dans la bibliothèque. Cachée derrière un une série de livre.En activant ce levier, j’ouvrais une salle non loin de là.

Alors que j’entrais dans la salle en question quelle ne fut pas ma surprise de voir la quantité de masque présente. La salle en elle-même était lugubre, n’incitant pas du tout à y rester. La végétation était on ne peut plus présente ce qui laissait sous entendre que cette cachette ne devait pas souvent être visité.


Chapitre 6 : Quand le masque s'accapare l'homme

La vue de la salle n’inspirait guerre confiance. On sentait très clairement la présence d’une obscure magie dans ces lieux.

Vengeance, cruauté, noirceur et rancœur, tels étaient les mots que l’on pouvait placer sur la sensation que l’on éprouvait en voyant ses masques.

Je m’avançais dans la salle, parcourant un a un les divers masques présents. Tous présentaient des similitudes. Certains étaient mieux travaillés que d’autres, d’autres encore étaient là pour inspirer la crainte.

Je continuais de sentir cette force magique dans cette salle et elle guidait mes pas. Jusqu’à 3 masques.
Intrigué, je les pris en mains. La magique s’intensifiait.On pouvait la sentir. Elle me montait à la tête. M’incitant à porter au visage l’un des masques que j’avais pris. Cela ne m’inspirait guerre confiance, mais l’insistance se faisait de plus en plus grande.
Je n’arrivais plus à me contrôler totalement. Si bien que je finis par porter le masque au visage. Mon avenir était scellé et dans ma tête raisonnèrent ces mots.


« Vengeance, Cruauté, Noirceur, Rancœur, tel sera ta voie à l’avenir ».

Je ne pouvais plus retirer le masque. Il me contrôlait et finis par perdre le contrôle de mon corps. M’obligeant à lui obéir, comme un
pantin. Je n’étais pas de taille pour lui tenir tête. Et pourtant malgré ça, je sentais une force nouvelle m’envahir. Tout ce que mon maitre m’avait appris semblait s’être envolé. La seule chose qui me restait était la connaissance du poison.

A ce jour ne m’explique pas encore le pourquoi. Cependant je pense qu’un tel savoir à dut plaire au masque.Je ne contrôlais donc plus mon corps et mon comportement changeait littéralement. Je devenais fou. Incontrôlable, imprévisible. Je pris donc la fuite du temple, laissant derrière moi, ma seconde famille.


*

Je courrais encore et encore, pieds nus à travers la forêt. Les épines et les branches me blessaient mais qu’importe, la douleur était là, mais elle m’apportait un réconfort. J’en riais même.

Je ne comprenais plus rien. Je ne contrôlais plus rien

La voix se remit à me parler dans ma tête m’expliquant l’intérêt de ces trois masques. "L’un est celui du pleutre, l’autre dupsychopathe et le dernier celui que je porte pour mes déplacements. Chacun de ces masques fait appel à un pouvoir et à un état bien précis. Il suffit d’appliquer celui que tu désires.
Le premier celui du pleutre, te permettra de facilement semer tes ennemis. Il te permettra également de lancer quelques aiguilles. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai laissé intacte ta connaissance du poison. Je pense que tu auras compris l'utilité.

Le second est celui du psychopathe, celui qui montre ta vraie puissance brute. Il te permettra t’effrayer tes ennemis et dans une moindre mesure, les tuer. Le dernier masque est celui que tu arbores lors de tes déplacements. Ton visage ne doit plus être reconnu. C’est d’ailleurs pour ça que je vais te faire oublier ton identité. Ton nom sera désormais Fukumen-Kigenkai. Ce nom signifiant le masque instable dans une langue ancienne. »

Ces mots restèrent gravés dans ma mémoire… nul ne pourrait me les ôter.
« … Je vais te faire oublier ton identité. Ton nom sera fukumen-kigenkai »



Chapitre 7 : La maitrise de ce nouveau pouvoir

[/center]




Je ne sais toujours pas si je dois prendre ça comme une malédiction, en tout cas une chose est sur, j’ai finis par m’habituer. Les
seuls problèmes que je rencontre encore concerne cette magie qui de temps à autre reprendre le dessus sur moi. Et m’ôte tout contrôle.


Cette magie, je suis encore et toujours occupé à essayer de la contrôler à travers mes entrainements quotidiens. Ce n’est pas facile. Elle
ne se laisse pas facilement se soumettre. Mais je sens, jours après jour que je reprends le dessus.


En tout cas une chose est sure, chaque jour me rend plus fort par la maitrise de plus en plus approfondie de mes masques. Et je compte
bien ne jamais laisser quelqu’un me les dérober…




Mon nom est Fukumen-Kigenkai et je suis un Zobal



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MessageSujet: Re: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyMar 22 Fév 2011 - 11:20

Si vous avez des critiques ou des avis; n'hésitez pas.
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MessageSujet: Re: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyMar 22 Fév 2011 - 11:50

Très beau texte, j'aime bien même si parfois c'est un peu confus, quelques fautes par-ci par-là qui ne gênent pas le compréhension générale du texte Smile

Il y a UN truc qui m'a dérangé c'est le "ça en devenait LIMITE insupportable" je trouve que ça casse le récit.


Ah si! Donc selon toi, tout les gens qui ont des masques les ont trouvé caché dans le temple Sadida?
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MessageSujet: Re: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyMar 22 Fév 2011 - 12:04

Pour les masques, non je ne prétend pas qu'ils viennent tous du temple Sadida. Seulement Bon nombre de copies ont été réquisitionnées à l'époque (ça rejoint le Bg des zobal écrit par Ankama d'ailleurs) et dans mon cas je dis que certains étaient cachés dans le temple Sadida. Après chacun est libre d'expliquer d'où provient ses masques. Dans mon cas, c'est mon maitre qui aura commis l'erreur de me parler de la légende.

Je ne sais pas si ça répond à ta question.


Ps : La mise en page foireuse est due à forum actif... désolé si ça vous gène.
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MessageSujet: Re: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyDim 27 Mar 2011 - 15:56

Chapitre 8 : Un garde avertis en vaut deux.

Nous sommes en 641, quand ? je ne sais pas ou plutôt je ne sais plus. Tout ce dont je me rappel c'est d'avoir vu du sang et d'avoir commis des actes barbares.
Je commence tout juste à maitriser partiellement mes masques ce qui ne me permet pas encore de maitriser totalement leurs pouvoirs. Certains gardes de Brakmar s'en souviendront quoiqu'ils ne pourront plus témoigner maintenant.

Cette épisode se déroule alors que je suis en vadrouille dans les landes de Sidimotes, il fait sombre et l'air autour de moi est humide. Le sang se glace au fur et à mesure que l'on progresse sur ces terres arides.
La chair de poule vous envahit lorsque vous entendez les appels du soir des croc gland. Vous perdez toutes notions d'espace temps, impossible d'avoir une idée de l'heure.
Je progresse, usé par la marche mais convaincu que je trouverais un endroit tranquille pour me reposer cette nuit.

Le temps passe, le froid s'intensifie et j'entends au loin des cliquetis de côtes de maille et de bottes métallique. Apparemment je suis plus près de Brakmar que je ne le pensais, mais croiser une patrouille à cette heure alors que je figure pas dans leurs rangs risque de me poser quelques problèmes.

Faire demi tour ? C'était envisageable mais à la vitesse ou cette garde marchait ils finiraient tôt ou tard par m'interpeller et Dieu sait ce qu'il m'auraient fait. Je me suis donc assis sur le sol gelé en attendant patiemment qu'ils arrivent et me voient.

La garde arrive, d'un pas rapide et décidé et leurs lanterne finis par m'arriver au visage. Dans la brume et la lumière je distingue une bonne dizaine de gardes, tous munis hallebardes et d'épées. Ils s'arrêtent net et m'interpellent d'une façon plutôt brutale.

Le premier qui visiblement est leur capitaine s'approche de moi avec son arme et pointe le manche en direction de mon visage. Un coup au visage suivis d'insultes; les soldats rigolent.

Je ne montre aucune résistance. Je ne bronche pas. J'encaisse. Un deuxième coup m'est assené au visage. Les rires continuent avec les insultes. Le capitaine commence alors à perdre patiente et décide de frapper le prochain coup plus fort.

Une chose est sur, il ne devait pas s'attendre à une réplique de ma part. Le troisième coup partait à toute allure lorsque à ce moment bien précis je culbute en arrière, prend appui sur ma gauche et lui envoie un coup de jambe dans la cheville pour le faire tomber.
La hallebarde s'enfonce doucement dans le sol assez rigide et le soldat tombe au sol surpris par la vitesse de mon déplacement. D'un mouvement de manche, je sort deux lames, les fait tourner entre mes mains pour attraper correctement le manche et les plantes toutes les deux dans la gorge de notre garde.

Me relevant je vis les garde devant moi tirer une autre tête. Les rires s'étaient arrêtés et commençaient à faire place à une rage folle. Le corps de leur capitaine gisait là à coté de moi avec deux lames dans la gorge.

Le combat allait s'engager, je pouvais le sentir. Neuf contre moi, un zobal...

Chapitre 9 : A couteaux tirés...

Ils se tenaient là. Prêt à foncer sur moi. Moi je les attendais et je sortait une troisième lame d'une de mes poches et engageait une position de combat. Un des soldats fonçait sur moi avec sa hallebarde et commençait à la faire tourner dans l'espoir de me toucher. Sans réfléchir et presque de manière instinctive j'esquivai jusqu'au moment ou j'ai arrêté son bras. Lui aie assené un coup de genou dans l'estomac suivit d'un coup au visage pour enfin plaquer ma main sur son visage et aller de l'avant de toute mes forces en le poussant au sol.
La chut fut du corps fut fatale, sa tête frappe nuque la première sur une pierre angulaire lui fracturant les cervicales et le tuant sur le coup.


Un nouveau cadavre s'ajoutait au capitaine et les autres gardes n'osaient plus bouger. Ils paniquaient, hésitaient. Je décernais une crainte dans leurs yeux. Changeant de masque pour équiper celui du psychopathe, je ressentait une folie plus meurtrière encore envahir mon corps. L'appel du sang et du sadisme se faisait ressentir.

N'écoutant que mes pulsions je fonçait à toute allure avec ma lame dans le groupe des 8 derniers soldats. Les coups s'intensifiaient, je leurs portaient des coups dans les interstices des armures les blessant, mais eux aussi me blessaient avec les hallebarde. Je m'étais jeté dans le gueule du loup tout seul.
Qu'importe la folie prenait le dessus et la douleur passait en second plan, me faisant oublier les coupures assez sévère que je recevait.

Le combat s'intensifiait et ma cruauté également. Entre la lame qui éborgnait un soldat et un autre qui se prenait se la prenait en plein dans l'artère fémorale scellant au passage toute espoir de vie.

Le combat tournais à la boucherie, bientôt leurs côtes de maille n'auraient servie à rien. Tous étaient à deux doigts de mourir si pas déjà mort. Il ne restait qu'au final un seul soldat complètement défiguré du visage. Pour l'achever, je lui aie lancé une aiguille enduite de poison au niveau du coup. Les cris et les balbutiement finirent par prendre le dessus avec la bave qui commençait à sortir de sa bouche. Son corps s'effondrait à mes pieds.

Le combat venait de terminer et il fallait maintenant déguerpir avant de voir une nouvelle patrouille débarquer sur les lieux. En tournant le dos à la scène de combat j'entendis dans un dernier effort un soldat à à l'agonie sortir une dague de son fourreau. J'ai juste eu le temps de me décaler pour l'éviter de justesse.

L'effet du masque ne s'étant pas encore dissipé, je pris la dague à deux pas de moi pour la rendre de manière violente à son propriétaire. Elle finit par atterrir entre ses deux yeux.


*

Le lendemain fut pénible. J'étais blessé voir même grièvement blessé. Il fallait que je trouve des soins et que je me rétablisse au plus vite avant que tout s'infecte.

Autre chose, il faut que je maitrise totalement mes masques. Lors de ce combat c'est lui qui avait le dessus sur moi et non le contraire. Je ne peut plus me permettre cela.

L'entrainement doit reprendre....
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MessageSujet: Re: [Histoire] Fukumen-Kigenkai   [Histoire] Fukumen-Kigenkai EmptyLun 4 Avr 2011 - 19:22

Chapitre 10 : L'entrainement reprend...

Incontrôlable, voila comment je me définis lorsque je suis l'influence de mes masques. Je perd toutes les notions qui font de moi un être humain. Ces masques c'est moi qui décide de les porter, c'est moi qui décide de imprégner de leurs pouvoir, en revanche ce n'est pas moi qui dicte la durée d'effet de ces masques. Ce n'est pas moi qui décide quand je peut le retirer de mon visage.

Cette magie, présente dans ces masques est puissante et arriver à la maitriser demande de l'entrainement. Voilà donc pourquoi je me suis lancé depuis maintenant un bon bout de temps dans un entrainement intensif ou presque. Le but était de surpasser la magie avec mon mental pour que je puisse la contrôler, mais aussi pour contrer les éventuels effets secondaires comme la fatigue. Il fallait que je m'habitue, ou plutôt que mon corps s'habitue.

Mon entrainement devait me permettre de contrôler deux masques. Celui du pleutre et celui du psychopathe, le troisième étant celui que je porte quotidiennement ne me posait plus aucun problèmes. L'entrainement consistait donc à les équiper et combattre avec pour tester la magie qui y résidait mais aussi m'habituer aux effets du masques. Plusieurs semaines me furent nécessaires pour maitriser ce masque de pleutre.

Le masque du psychopathe quant à lui je ne voulais pas le maitriser, je voulais apprendre à l'arrêter comme bon me semblais. En effet si je le contrôlais totalement j'éprouverais trop de pitié face à mes adversaires et la moindre pitié était synonyme de mort pour moi. C'était aussi le masque le plus fatiguant pour moi, sa puissance m'épuisait bien trop vite, mais en contrepartie j'obtenais de bon résultats dans les combats. L'entrainement pris du temps, mais au bout du compte je suis arrivé à un stade ou ce masque me pose moins de problème. Je le maitrise correctement maintenant.

Mon entrainement pour les masques touche à sa fin. Maintenant il me reste à améliorer mes aptitudes de combats, ma condition physique, mais ça c'est une autre histoire.

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