Le Clan de mercenaires de Nedora Riem (DOFUS - Orukam)
 
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 [Tome I]: Le chant du guerrier.

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MessageSujet: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:31

HRP/ J'ai décidé de reprendre mon BackGround et de le retoucher complètement. Plus je grandis, plus mais histoires ont du cran si je puis m'exprimez ainsi. Et puis elles gagnent forcément de la maturité donc j'actualise. Je vais utiliser la méthode de Ghama Noula pour poster étant donné que je retouche juste, je sais déja combien il y aura de chapitre. Merci Ghama x) /HRP


Nous étions en l’an 631 et Déidara gisait au milieu des cadavres. Il y en avait des centaines.

« Le monde entier est devenu fou, songeait-il vaguement. L’homme ressemble à une feuille morte, ballotée par la brise d’automne. »
Il se remémora ses aventures et plongea dans les plus profonds de ses souvenirs.


***

[Tome I]: Le chant du guerrier. Copie_10

Chapitre I : Une vie amère

- La faiblesse est l'apanage des lâches !

Des dizaines de disciples sautaient, inlassablement comme un seul corps, Déidara n'échappait pas à cette règle, parfaitement synchroniser avec les autres, il sautait d'un coté a l'autre du cours d'eau. Dans cette salle était regroupés des gens de tout âge allant de douze à cinquante ans.

- Seul le courage apporte la victoire !

Le Maitre récitait les préceptes du dieu auquel tous ici avaient juré fidélité, Iop. Il s'arrête net, un disciple a raté un saut et se retrouve a patauger dans l'eau, il en sort tous penaud, il lève un regard de chien battu vers le Maître, ce dernier lui répondit d'un regard méprisant.

- Tu es tellement faible que même le temple de la déesse Féca ne voudrait pas de toi, Déidara!

L'insulte avait été cinglante, il n'y a pas pire injure pour un disciple d’Iop que d'entendre qu'il est inférieur à un disciple de Féca. Comme pour appuyer ses mots, l'entraîneur lui assena un terrible coup de bâton que Déidara encaissa sans broncher, malgré le filet de sang qui coulait à présent sur son visage.

- Rejoins ta chambre disciple, tu seras privé de repas ce soir.

Toujours sans un mot, Déidara s'exécuta. Une fois dans sa chambre il s'allongea et pensa à ses défunts parents, tous deux de fervents croyant en Iop, ils auraient été peu fière de lui qui ne savait pas même sauter un court d'eau. Cette pensée lui arracha les larmes qu'il aurait aimé de jamais verser. Son rêve était le même que celui de tous les autres disciples du temple, il voulait devenir un Guerrier Saint, c'est à dire achever son entraînement et parcourir les terres en quête de renommée et de fortune pour la gloire de son dieu, comme l'avaient fait ses parents.

Le lendemain, il le savait l'entraînement se déroulerait sous l'œil moqueur des autres disciples et du Maître.

Chapitre II : Une étrange guerrière

Encore plus décontenancé après cette pensée, il rassembla tous ses souvenirs de ses parents, mort pour la gloire de leur divinité. Ces souvenirs d'eux avaient toujours les mêmes effets, il se sentait ampli d'une rage incroyable et l'air autour de lui devenait plus lourd, tellement plus lourd. Quelqu'un frappa a sa porte, sans songer à se calmer, Déidara alla ouvrir, quelle ne fut pas sa surprise quand il ouvrit la porte a une Guerrière Sainte.

- Bonjour jeune homme, on m'a dit que je pourrais dormir ici cette nuit, ça ne te dérange pas ? Tu semble assez énervé.

La femme parlait d'un ton calme, mais quelque chose dans son regard démontrait un intérêt anormal pour Déidara. Le jeune disciple accepta la demande de la maraudeuse puis sans le vouloir, ni même savoir pourquoi il lui raconta tous, son entraînement laborieux et impossible, son entraîneur tortionnaire, ses parents, leur mort. Elle lui répondit par un sourire et dit :

- Suis-moi

Déidara s'exécuta et tous deux sortirent et marchèrent en silence jusqu'au court d'eau qui avait été l'échec de Déidara. Pour une raison inconnue il savait qu'il pouvait lui faire confiance.

- Je sais ce que tu ressens, je n'étais pas très douée non plus lors de mon entraînement, je te propose une chose, accompagne moi dans mes aventures, je ferais de toi mon disciple, qu'en dis tu ?

Le jeune disciple n'en croyait pas ses oreilles, il le savait les Guerriers Saints ne prenaient que rarement des apprentis de peur qu'ils les encombrent dans leur aventures, jamais il n'avait été aussi heureux de sa vie et il bredouilla un vague oui merci, il avait l'impression de se sentir soudain tellement léger qu'il aurait pu sauter dix fois le court d'eau.

- Avant tu dois passer un test, saute par dessus ce court d'eau.

Déidara pâlit, il n'était pas doué du tout pour le saut. Il repensa aux aventures qu'il pourrait passer avec cette inconnue. Cette pensée lui redonna des ailes, et il sauta, nouvelle surprise, il venait de sauter plus haut et plus loin qu'il n'avait jamais sauté ce qui le fit sourire jusqu'aux oreilles. Ce soir là avait été le premier rayon de soleil dans sa vie pluvieuse.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:34

Chapitre III : Début d’une aventure

Le Maître était plutôt content ce jour là. Il s’était débarrassé d’un de ses disciples. Et pas des moindres, le plus faible. Cela allait relever le niveau de ses apprentis.
Déidara, était lui, content de s’être débarrassé du Maître. Il allait vivre une grande aventure, il en était certain.
Il savait que son destin serait différent de celui des autres, car, il était né en l’an 581. Une année peu commune qui avait donné naissance à un autre personnage important de l’histoire, Hogmeiser.

Il était près. Son nouveau Maître lui avait ordonné de ranger ses affaires et de se tenir prêt à partir. Il l’avait fait sans la moindre hésitation. C’est simple, il détestait cet endroit. La Guerrière Sainte avait revêtue une cuirasse blanche ou avait été peinte en rouge la croix de l’Ordre d’Iop.

- Au faîte, je me nomme Sakura, dit-elle en enfourchant sa Dragodinde
- Ravi de vous connaître, et moi Déidara

La petit monture de Déidara était attaché à la scelle de celle de mon Maître.
Il était loin déjà, de la grande cour ou il s’entraînait. Celle-ci n’était déjà plus qu’un souvenir, et, galopant vers l’aventure, nos deux personnages continuèrent leur voyage sans se retourner.
Fonçant à travers bois, Déidara se demandait ou l’entraînait sa protectrice.
---

La veille d’Halouine, au début de l'après-midi, comme les Guerriers Saints et leurs écuyers réunis à Bonta allaient se mettre à table, une demoiselle entra à dos de Dragodinde dans la salle. Mettant pied à terre, elle vint saluer le Meneur qui la recommanda à Iop: Commandant, lui dit-elle, dites-moi si Serenity est ici.

- La voici, répondit le Meneur
- Serenity, nous repartons vers l’aventure, j’ai pris un second élève. Vous ferez désormais équipe. Prépare toute tes affaires, nous repartons vers l’aventure

Les yeux de la petite disciple d’Osamodas que l’on nommait Serenity s’illuminèrent et elle fila dans sa chambre, rassembler ses différentes équipements.

Chapitre IV : L’entrainement

Un Corbac vint se poser sur une des milles roches des Plaines de Cania, cherchant un Serpentin pour ses petits. Trois Dragodindes le fit s’envoler pour se percher un peu plus loin. Déidara, Sakura et Serenity chevauchaient vers l’aventure.

Contre toute attente, Sakura était plus dur qu’elle n’y paraissait. Les entraînements qu’elle proposait s’avérait des plus compliqués et des plus douloureux. Quand ils étaient arrivés au village, ils s’étaient tout de suite mis au travail. Serenity, avait, elle, reçu des taches beaucoup moins compliqué mais elles nécessitaient beaucoup plus de reflexe et de concentration. Déidara nageait en plein délire, en cette journée de Juinssidor, il était lié par les poings a un arbre. Il haïssait maintenant celle a qui il avait juré fidélité en tant qu’écuyer. Deux jours qu’il était pendu la, sous le soleil ardent.

Ce n’était pas l’heure de la matinée ou d’habitude on sonnait la cloche du temps ; et pourtant ses coups de gongs pesants, réguliers résonnaient à travers le village d’Amakna et se persécutaient au loin dans les montagnes.
- Sakura ! Sakura !
- Quoi ? C’est toi, Déidara ?

Tandis que Sakura essayait de regarder dans l’arbre, Déidara lâcha un flot d’injures :

- Espèce de... Viens donc là, j’ai deux mots à te dire !!

Le vent battait violement les branches de l’arbre, et la voix n’arrivai qu’entrecoupée. Des feuilles tourbillonnaient et pleuvaient sur la face levée de Sakura. Elle éclata de rire.

- Tu es encore plein de vie, à ce que je vois. Parfait ; j’en suis ravie. J’espère que ce n’est pas seulement la fausse vitalité qui vient de la connaissance du fait que tu vas mourir.
- Ferme-la ! cria Déidara qui n’était point tant plein de vie que plein de colère. Si j’avais peut de mourir, pourquoi me serais-je laissé faire quand tu me ligotais ?
- Parce que je suis forte et tu es faible !
- Tu mens, et tu le sais bien
- Dans ce cas je m’exprimerais autrement. Je suis intelligente, et tu es un disciple stupide !
- Peut-être as-tu raisons. Il est certain que j’ai été stupide de m’entraîner avec toi et de t’avoir pris pour maître.

Sakura s’était éloigné en rigolant, elle entraînait son disciple. Elle le savait, les entraînements étaient durs mais nécessaire. Il devait apprendre a contrôlé. Et s’il avait envi de vivre, il survivra. Quant à Serenity, elle continuait son entraînement dans les montagnes. Sakura pouvait s’y rendre en se téléportant. Elle maîtrisait pas mal de sort d’autre classe.
Sakura était maintenant rentrée dans sa demeure ou l’attendait un autre Guerrier Saint.

- Hey, salut Kojiro
- Il va pleuvoir, tu penses que ton disciple survivra ?
- S’il veut devenir fort, c’est le seul moyen
- J’approuve tes méthodes, dit-il en souriant

Les premières gouttes de pluies avaient commencée a tombé, Déidara regarda le ciel, un orage effroyable allai commencer.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:34

Chapitre V : La vie

Au petit matin, le vent et la pluie avait balayé le printemps dont il ne restait plus trace. Le soleil brûlait et rares étaient les villageois qui allaient et venaient sans la protection d’un chapeau à larges bords. Kojiro gravit la colline vers le temple et parvint à la porte de Sakura, assoiffé et hors d’haleine. La sueur perlait son front et formait des filets qui coulaient le long de son nez. Il n’en tenait aucun compte, car elle débordait de curiosité quant au sort de Déidara.
- Sakura, cria t-il, Déidara a-t-il survécu a l’orage ?
Elle parut sur la véranda.
- Ah ! c’est vous. Quel déluge, hein ?
- Oui
Il eut un sourire tortueux.
- …C’était mortel.
Elle se dirigea vers le vieil Orme sur lequel Déidara pendait. Kojiro regagna sa demeure, il avait d’autres choses à faire et devait s’occuper de ses propres disciples.
- Déidara ! appela-t-elle
Là-haut, une branche remua, et d’étincelantes gouttes de rosée tombèrent.
« … Le pauvre garçon, je suppose qu’il n’a pas la force de me répondre », se dit Sakura
- Qu’est-ce que tu veux, espèce de…répondit l’autre avec férocité
Sakura était rarement prise au dépourvue, mais elle ne put cacher sa surprise :
- Il est certain que tu hurles bien fort pour un homme à l’article de la mort. Es-tu sur de ne pas être un Kralamour ou un poisson de ce genre, plaisanta-elle
- Trêve de bavardages, coupe moi la tête et finissons en.
- Oh ! Que non ! Pas si vite ! Il ne faut pas faire à la légère se genre de choses. Si je te coupe la tête elle foncera sans doute vers moi pour me mordre, répondit-elle

Elle se mit à lui expliquer des leçons de morales, elle rigolant, lui assombrit. Il ne pouvait pas lutter, il était fini. Elle partit en rigolant. Le claquement des sandales de Sakura s’éloignèrent. Elle était partie et Déidara s’arrêta de crier. Selon le conseil de Sakura, il ferma les yeux qui venaient de connaitre un grand réveil, et oublia tout. Il oublia la vie et la mort.
Et sous les myriades d’étoiles minuscules se tint parfaitement immobile, tandis que la brise nocturne soupirait au travers de l’arbre. Il avait froid, très froid. Soudain, une voix haletante chuchota son nom.
C’est moi, dit-elle avec une simplicité enfantine
Serenity ?
Oui, moi. Oh ! Déidara, fuyons ! Je t’ai entendu crier de tout to cœur que tu voulais vive.
- Fuir ? Tu vas me détacher, me délivrer ?
- Oui. Moi non plus je ne peux plus supporter ce village.
D’une simple griffe cinglante, la corde se rompit et il tomba sur le sol.

- Rien de cassé ?
- Oui…sa…va…allons nous en
- Tu as raison, partons.

Ils s’éloignèrent en boitillant, lents, silencieux comme deux frêles insectes blessés sur la gelée blanche d’automne. Bientôt, les brumes du Champs du Repos se dissipèrent et l’on distingua les remparts d’Astrub.

Chapitre VI : Le chemin vers la sagesse


Tu as de la volonté mon petit mais crois-tu pouvoir m’échappée ? Ton entrainement n’est pas fini et la souffrance en était la deuxième étape.
Sakura avait tout vue. Elle ne l’avait pas retenu, mais elle ne comptait pas laisser ce brave enfant qui serait un jour un grand combattant. Elle avait parlé toute seule. Peu après leur arrivé à Astrub, Déidara avait foncé acheté des dagues pendant que Serenity dormait.

Une ombre dans la nuit glissait sur les ruelles silencieuses d’Astrub. Déidara courrait, il devait absolument se procurer des armes. Il regardait les murs des maisons harmonieusement construites. Bientôt, ont pu distinguer deux ombres… Il regarda partout, il n’y avait absolument personne. Pourtant, l’ombre montrait…clairement…une ombre aux cheveux long, derrière lui. Il se retourna, personne. L’ombre était toujours là et ficelait son ombre. Il ne pouvait plus bouger.

L’ombre le mit sur son dos il sentit le contacte froid d’une armure de Guerrier Saint. Pourtant personne ne le tenait, il flottait désespérément vers Amakna, ligoter, sans aucune cordes.
Quand il s’était réveillé, il ne se rappelait plus de grand choses, il n’avait pas mangé depuis 3 jours ni dormi. Il venait d’arriver à Astrub et était repartit vers Amakna…

1 mois plus tard…

Déidara attendit aux abords de la ville flottante de Sufokia ; quand il ne se cachait pas sous les ponts, il se tenait le plus souvent sur le pont de la rivière Kawaï, à observer discrètement les passants. Ou alors, il effectuait de petites incursions en ville, le chapeau enfoncé sur les yeux, la face dissimulée, comme celle d’un mendiant derrière un morceau de natte de paille.
Un mois s’était écoulé et il avait compris. Il était discret et calme et marchait d’un pas lent.

- Déidara ! Attend moi !

Il tressaillit et, comme à l’ordinaire en présence de son Maître, se senti légèrement humilié. Il avait cru que personne, pas même Sakura ne le reconnaîtrait sous son déguisement. Elle le saisit par le poignet.

- Viens avec moi, ordonna-elle

Impossible de ne point remarquer le caractère pressant du ton qu’elle abordait.
Déidara la suivit docilement. Il n’avait pas la moindre idée de l’endroit où ils allaient, mais une fois de plus il se trouvait incapable de l’endroit de résister à la Guerrière Sainte. Il se demandait pourquoi. Maintenant, il était libre, et il lui semblait qu’il retournait vers le viel Orme d’Amakna. Le Château d’Amakna apparaissait devant ses yeux.
Devant le portail de fer, une haie de gardes se tenaient au port d’armes. Leurs lances qui étincelaient au soleil firent hésiter Déidara.
Sakura convoqua le capitaine des gardes.

- Je vous l’amène, annonça t-il

En lui remettant Déidara, le moine recommanda à l’homme de prendre bien soin de lui conformément a ses instructions précédentes, mais ajouta :

- Attention, Ce lionceau a des crocs. Il est loin d’être apprivoisé. Quand on le taquine, il mord.
Le capitaine, respectueux des consignes de Sakura, ne toucha pas un cheveu de celui qu’on lui avait confié. Il pria seulement Déidara de bien vouloir le suivre. Celui-ci obéit en silence. Ils arrivèrent bientôt a une maison de bains, et le capitaine lui dit d’entrer ici se laver.
Bientôt se présenta un serviteur qui apportait des habits noirs et propres et un Solomonk. Le serviteur s’inclina puis dit :
- Je les pose ici. Vous pouvez les mettre en sortant.
Déidara en avait les larmes aux yeux. L’équipement comportait non seulement des Sandales du Chêne Mou mais aussi des dagues. Cela était très couteux et il n’avait jamais eu l’occasion d’en toucher ou de même en voir. On le traitait à nouveau comme un être humain.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:35

Chapitre VII : Le bout du tunnel

Il faisait toujours nuit noir au sommet du donjon, où se trouvais la chambre. Là-haut, le calendrier n’avait pas cours ni printemps, ni automne, ni sons de la vie quotidienne. Il n’y avait qu’une petite lampe éclairante un Déidara pâle, aux joues creuses. Le chapitre sur la psychologie de l’Art de la Guerre de Ama-Nak, était ouvert devant lui, sur la table basse.

Ama-Nak dit : « Parmi les gens de cette terre,
Il y a ceux qui sont infranchissables.
Il y a ceux qui arrêtent.
Il y a ceux qui limitent.
Il y a ceux qui sont abrupts.
Il y a ceux qui sont lointain

Chaque fois qu’il en arrivait à un passage qui lui plaisait, comme celui-ci, il le lisait et le relisait à voix haute. Celui qui connaît l’art du guerrier n’est pas maladroit dans ses mouvements. Il agit et ne se limite pas.

C’est pourquoi Ama-Nak disait : « Celui qui se connaît et connaît son ennemi sans risque. Celui qui connaît le ciel et la terre l’emporte sur tout »
Quand la fatigue lui monte troublait les yeux, il les rinçait à l’eau fraiche d’un petit bol qu’il avait à coté de lui. Si l’huile baissait et si la mèche de la lampe grésillait, il se bornait à l’éteindre. Autour de la table s’élevait une montagne de livres sur l’histoire du Monde des Douze et sur la maîtrise de soi.

Déidara avait depuis longtemps cessé de compter les jours. Quand il faisait froid c’était l’hiver, et quand il faisait chaud, l’été. L’atmosphère demeurait la même, humide et renfermée
Pourtant il était presque certain que la prochaine fois que les Moskitos viendraient nicher dans les meurtrières du Donjon, ce serait le printemps de sa troisième année dans ce ventre maternel.

« J’aurais 21 ans », se disait-il. Pris de remord il gémissait : « Et qu’ais-je fais de ces 21 ans… ». Il sanglotait des minutes entières comme un enfant.

Enfin un jour, il entendit les Moskitos de retour de leur voyage quotidien. Une fois encore, le printemps avait franchi les mers. Peu de temps après, une voix familière, presque pénible à entendre, demanda :

- Tu vas bien Déidara ?

La tête familière de Sakura apparut au sommet des marches. Sursautant, bien trop profondément ému pour émettre un son. Pas une seule fois les serviteurs qui lui apportaient la nourriture avait prononcé un mot. Il fut transporté de joie d’entendre une autre voix humaine, et surtout celle-ci.

- Je rentre de voyage, dit Sakura. C’est ta cinquième année ici, et j’en conclus qu’après une aussi longue gestation tu dois être joliment formé.
- Je te remercie de ta bonté, Sakura. Je comprends maintenant ce que tu as fait. Comment pourrais-je te remercier ?
- Me remercier dit Sakura incrédule

Elle éclata de rire

- Tu n’as eu que toi-même durant cet entraînement. Bien ! Maintenant que tu te conduis comme un être humain, tu es prêt pour la cérémonie !

Chapitre VIII : L’adoubement

Déidara s’avança dans la grande salle du Palais des Lacs. Le Chef de l’Ordre des Guerriers Saints se tenait debout au fond de la salle. Sakura se tenait a coté de celui-ci. Il continua d’avancer, il portait une tunique blanche ainsi que des sandales Aerdala. Il stoppa net devant le Chef de l’Ordre et s’agenouilla. Le Grand Chef pris la parole :

- Iop ! Un nouvel élève va prêter le serment en ta fidélité !

Déidara savait ce qu’il avait à faire. Le silence ce fit dans l’assembler, tous y était. Déidara se releva joignit les mains sur sa poitrine puis dit :

- Je jure allégeance à mon dieu, Iop. Je jure par la croix de l’ordre que je ne vous décevrais pas. J’accomplirais sans crainte les missions que l’on me confiera. Je ne perdrais pas de vu l’objectif des braves de Bonta. Iop, voici mon sang, voici ma vie. Je suis un Iop, je mourrais Iop.

Devant Déidara, le sol s’ouvrit et un socle apparut, une petite coupe argenté se tenait sur celui-ci. A coté de la petite coupe argentée, il y avait une épingle d’or fin.
Il l’a pris, puis, ayant récité une prière, il se piqua le pouce. Une gouttelette de sang tomba dans la petite coupe argentée, celle-ci changea de couleur puis devint rouge.

Le Chef la pris entre ses mains, puis, la lâcha sur le sol. Elle se divisa alors en quatre morceaux qui redevinrent blanc. Le socle brillant et les quatre morceaux disparurent.

- Bienvenue parmi les Guerriers Saints jeune Déidara. Aujourd’hui est le dernier jour ou tu prononceras se nom. Ouvre ta main.

Déidara obéit. 8 lettres apparurent. Il referma sa main puis la rouvrit, elles avaient disparut.

- Quel est ton nom ? demanda Sakura
- Maltazar Uchiha, répondit simplement Déidara
- Bien. Tu peux t’en aller.

Le décor commença peu à peu à se dissoudre, les visages s’effacèrent, et tout devint noir autour de Maltazar.
Quand il se réveilla, il portait la tunique blanche des chevaliers ainsi que leur casque. Il était dans sa chambre qui lui était réservé. Il pouvait maintenant, parcourir le monde, ainsi que participé aux guerres des Guerriers Saints, notamment contre leur ennemi grandissant : Brakmar.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:37

Chapitre IX : Minaima

Quand Maltazar se releva, il n’était que huit heure du matin. Un souvenir ancien mais pourtant bien net l’incita à se lever. Il courait avec une jeune femme dans les rues d’Astrub. Serenity. Il l’aimait, elle aussi l’aimait, elle le lui avait dit. Depuis leur séparation par Sakura il ne l’avait jamais revue. Il partirait donc à sa recherche.

Il scella sa Dragodinde mais au moment de partir, Sakura le retint par une main.

- Tu penses la retrouver en partant d’ici ? Si tu pars, tu t’éloigneras d’elle !
- Que veux-tu dire ?
- Elle est ici.
- Vraiment ?! dit Maltazar
- Tu ne crois quand même pas que j’allais la laisser tomber ?

Maltazar sauta mis pied à terre. Il parcouru l’aile des Chevaliers, là ou se trouvaient leurs chambres, puis, ayant tourné sur la droite Sakura le stoppa :

- C’est ici !

Il tourna la tête, une chambre au nom de Minaima. Il toqua à la porte et se retourna. Sakura était partit et il était seule face a cette porte, tremblant de joie a l’idée de revoir sa bien aimée. Une jeune femme ouvrit la porte. Elle portait une cuirasse blanche, ses cheveux blonds descendaient sur sa poitrine et ses yeux clairs reflétaient son amour pour Maltazar.

- Dé….

Il posa un doigt sur sa bouche.

- Maltzar dit il

Ils s’embrassèrent longuement puis se racontèrent mutuellement leur entraînement respectif du temps ou ils n’étaient que deux bambins : Déidara et Serenity

Chapitre X : Le cimetière


Les parents de Minaima moururent lors d’une attaque de Roublard qui voulait simplement piller leur maison. Cette mort tragique laissa Minaima plusieurs jours au lit. Les funérailles se déroulèrent sans incident particulier. Les proches jetèrent de la poudre sur le cercueil puis le recouvrirent de terre.

Minaima s’était peu à peu remis de cette mort, les funérailles avaient ravivé cette douleur sourde. Petit à petit, les proches avaient regagné leur demeure et seule Maltazar et Minaima étaient resté sur place. Les seules lumières provenaient de Gargouilles inoffensives. Elles faisaient le tour du cimetière en récitant ces paroles :

Rien ne semble les rattacher au monde réel,
Car ces créatures ne sont pas elles
Au fil des siècles, les humains se mirent à les respecter
A les craindre et ils leurs donnèrent le nom d’ « âme ».
Près de la paume de ta main,
Tu remontes aux créatures anciennes.
Bientôt, tes vaisseaux sanguins
Se rejoignent puis remontent en un brin,
Ce sont les bactéries, continu de monter, on arrive au cœur.
C’est là que vivent les âmes, elles sont à l’origine de toute vie.


Elles nous dépassèrent, reprenant de plus bel leur chant macabre.

- Rentrons chez nous Minaima, il se fait tard
- Tu as raisons...rentrons

Nous n’avions pas de maison a proprement parlé, nous logions donc dans le Palais des Lacs, dans l’aile des Chevaliers. Nous enfourchions donc nos Dragodindes pus nous partîmes dans le froid mordant de la nuit.

- Tu penses que…
- … ?
- Que je reverrais mes parents un jour ?
- Quel question, je sais des choses et je peux bien te dire que ce n’est pas impossible

Maltazar tourna la tête. Loin, derrière lui, des créatures translucides flottaient dans les airs. Il détourna la tête, il ne voulait pas savoir qui étaient ces personnes.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:37

Chapitre XI : Le sabre

Un mois s’était écoulé. Maltazar et Minaima vivaient toujours dans l’aile des Chevaliers. Maltazar n’oubliait pas ce qu’il devait faire. Il allait demander Minaima en mariage, il ne savait toujours pas comment s’y prendre. Il avait pensé à battre un de ses prétendants qui la concourrait. Il leur aurait tranchés la tête avec l’épée familiale : La Lame Blanche d’Uchiha.
Cette lame était assez pesante mais brillait de mille feux. Un Topaze était incrustée dans le manche qui lui, était en cristal. La lame était en diamant, et par conséquent, très solide.

Il ne s’en était servit que pour des exercices. Au combat, jamais il n’aurait supporté de la brisé ou de la cassée de quelconque manière. Il se demandait d’ailleurs pourquoi son père tenait tant a cette épée. Un trophée de guerre sans doute…
Maltazar n’avait jamais eu de frère avec qui partagé ses trouvailles. Son père était un preux combattant disciple d’Iop qui rapportait souvent des cadeaux à son fils unique. Sa mère le chérissait autant que lui. C’était le père de famille après tout.
Pendant que Maltazar pensait à cette mystérieuse, il se dirigeait vers sa chambre pour la regarder de plus près.

Il prit l’épée et la soupesa. Elle était lourde. Il regarda la lame, elle paraissait transparente mais l’on ne distinguait pas derrière, bizarre pour du diamant fin. En revanche la poignée, elle ne l’était pas. Il distingua une fente entre la lame et la poignée. Délicatement, il…détacha la lame de la poignée.

La lame de cristal tomba sur le sol ainsi que la poignée de Topaze découvrant alors une nouvelle épée beaucoup plus fine et beaucoup moins lourde.

- Intéressant…
- Qu’est-ce qui est intéressant ?

Maltazar se retourna. Personne. Qui avait donc parlé ?

- Par ici !
- Qui parles ? demanda Maltazar
- Moi, ta fidèle épée, la Lame Blanche d’Uchiha, mais tu peux m’appelle Gorgolt ! C’est marrant que tu m’es découvert en Shushu de Rushu et que sois un Bontarien, et oui vois tu je sais tout de toi !

Maltazar distingua un œil ouvert sur la poignée de l’épée, une épée rouge et noir tranchante a souhait. Il parlait à son épée…il y avait là de quoi devenir fou. Après tout, à cette époque, tout pouvait être possible.

Maltazar resta un moment la bouche ouverte puis découvrit un large sourire :

- C’est donc sa le Grand Héritage de la famille Uchiha…Un Shushu de Rushu.
- C’est exacte! Tu es mon nouveau gardien! A la mort de ton père, un peu précipité je l’avoue, celui-ci n’a pas eu le temps de t’en faire part.
- Je vois, je vais devoir prendre mes précautions en plus de celles que je devais prendre en temps que Guerrier Saint.


La lame ricana mais, la saisissant par la garde, il la mis dans son fourreau puis repartit vaquer à ses activités.

Chapitre XII : La pierre


Il courait à vive haleine dans la forêt. La nuit se faisait de plus en plus noire et Maltazar courait désespérément pour échapper à son poursuivant. D’ailleurs qui était-il ? Il n’en avait aucune idée et ne voulait d’ailleurs pas le savoir. Il courait sans s’arrêter, sans se retourner.

Maltazar se roula en boule, tomba, se releva, trébucha, s’accrocha a une branche, courut puis sauta. Une chute sans fin. Puis enfin, il atterrit durement sur le sol glacé d’une caverne. Cette course n’avait aucun sens, il ne savait même pas ce qu’il faisait ici. La caverne s’illumina soudain, un monsieur d’un âge incertain s’avança a la rencontre de Maltazar.

- Suis-moi. Dit simplement le vieil homme
- Qui êtes vous ?!
- …

L’homme ne répondit pas, il regarda fixement Maltazar puis fit demi-tour, vers le fond de la grotte. Maltazar le suivit docilement sans pourtant relâcher sa garde.
Ils continuèrent d’avancer dans la grotte, et au fur et à mesure qu’ils avançaient, le sol se transformait en cristal pur.

- Que se passe t-il ? demanda Maltazar

Le vieil homme ne répondit pas et continua d’avancer. Ils arrivèrent dans une salle immense remplie de multiples pierres précieuses. L’homme se tourna vers Maltazar.

- Maltazar, voici le Sanctuaire des Tristes Larmes. Ici et maintenant, une épreuve de sagesse te seras faite. Fais attention à ce que tu vas dire.
- D’accord, après dites moi ce que je fais ici, dit Maltazar d’une voix endormie

Comme si le vieil homme ne l’avait pas entendu, celui-ci prononça une étrange question :
- Combien de vie valent la tienne ?
- Une vie n’a pas de prix
- Si je te demandais de me tuer, obéirais tu ?
- Personne ne mérite la mort.

Le viel homme sourit.

- Je vois que tu as retenu les préceptes des Chevaliers, de plus, tu ne les récites pas, mais tu les penses vraiment, tu es digne de me succéder comme gardien de ce tombeau…

Maltazar sentit une force invisible lui faire saisir son épée puis tendre le bras.

- Une partie de ton âme resteras ici, c’est d’ailleurs ici qu’elle reviendras quand ton enveloppe physique aura rendu son dernier soupir.

Le décor s’efface brusquement et Maltazar ouvre les yeux puis se redressent sur son lit.

- Quel étrange rêve… dit il en murmurant

Mais, en ouvrant son poing crispé, dans la paume de sa main, une pierre ronde et bleue roulait dans sa main.


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MessageSujet: Re: [Tome I]: Le chant du guerrier.   [Tome I]: Le chant du guerrier. EmptySam 18 Sep 2010 - 1:38

Chapitre XIII : Naissance et Décès

Dans le verre de Maltazar, la bière luisait de reflets ambrés sous le soleil de Joullier. Autour du jeune homme, saltimbanques, bateleurs et montreurs de Kanigrous savants déployaient leurs tours, à l'amusement des milliers de personnes festoyant sur les gigantesques tablées dressées au milieu des plaines de Cania. Maltazar perdit son regard parmi la foule, sa femme de l’autre côté de la table, le regardait avec un étrange sourire aux lèvres. Elle attendait un fils.

Le 17 Fraouctor, le fils de Maltazar naquit. Il avait épousé Minaima depuis longtemps et bien des aventures s’étaient présenté à lui. Mais jamais il n’avait eu de fils, et pour lui, se fut un événement hors du commun.

Ils l’avaient nommé Initializ Uchiha. C’était un beau garçon aux cheveux roux qui gigotait dans son berceau. Minaime et Maltazar. Très vite il apprit les rudiments du combat ainsi que de la culture général comme voulait sa mère.

***

Maltazar avait été rappelé au quartier général des Guerriers Saints. Ils allaient devoir combattre l’ennemi Brakmarien qui se remettait petit à petit des cuisantes défaites contre les Bontarien. L’éducation de son fils allait devoir attendre.

Et, en pendant le mois de Septembre en l’an 631…

La guerre faisait rage et sur le champ de bataille, les cliquetis des armes faisaient rages et les cadavres s’empilaient inlassablement.

Maltazar ne savait pas s’il allait s’en sortir, mais il le devait à tout prix. Ses assaillants s’écroulaient à ses pieds. Il était un combattant hors pairs.

Il en avait fini avec ses adversaires, mais la bataille ne l’était pas. Autour de lui, ses compagnons tombaient et leurs adversaires s’élançaient à la recherche d’autres victime.

Il repensa a son fils…une lame égaré vint de planter dans son dos, il tomba sur le flanc, le souffle coupé.

Chapitre XIV : L’ombre de la mort

Le soleil se couchait à l’horizon, les Corbacs s’étaient maintenant rassemblés sur les branches des arbres morts. Le festin allait commencer.

Depuis plusieurs heures déjà, Maltazar se traînait sur le flanc. Il ne devait pas mourir. Il voulait survivre, mais les dernières lueurs du soleil glissèrent sur le sol puis disparurent à l‘horizon. Un jour nouveau allait se lever là bas, mais ici, la nuit froide et glaciale s’étendait à perte de vue. Les landes de Sidimote n’était pas non plus très accueillantes, bientôt les charognards et autres types de créatures allaient venir se rassasié ici.

Maltazar était a bout de force, il s’étala, et, lentement ferma les yeux pour laisser place à l’obscurité la plus total.

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