Pour intégrer ce fameux clan, dont tout le monde parle (ou presque), on doit faire preuve de sérieux, obéïr à un réglement et à ses supérieurs, avoir un mental d'acier et surtout faire une croix sur son passé, surtout si l'on a était démon ou même ange. Le passé ne doit pas influencer les mercenaires dans leurs choix... Un mercenaire peut-être respecté, voir admiré où il va... Ou bien il peut attiser la jalousie de certains ou la haine, et parfois cela tourne mal.... Et oui.
Moi-même, j'ai intégré ce clan à ma plus grande fierté. J'ai décidé seul de m'écarter, en quelque sorte, de ce monde ou les vrais amis ne sont pas toujours qui l'on croit être et ou les guerres font rage. Je m'appelle Iork et je vais vous raconter mon histoire...
A la recherche d'une identité
"Si tu as peur de regarder devant toi et que tu peux plus voir derrière, regarde à côté de toi; car je serais toujours là pour t'aider."
Tout commencait non loin d'Amakna, un tout jeune disciple Sram du nom de Iork venait de naître. Plus tard, les parents du jeune garçon eurent des problèmes, de mystérieux problèmes...
Un jour, leurs problèmes les poussèrent à abandonner leur enfant... Et dans des circonstances sombres, ils disparurent...Toujours aussi mystérieusement.
Ce passage de ma vie est très douloureux, mais je vais vous le conter, je m'en rappelle très bien.....
J'étais jeune, trop jeune pour vivre ça. Il pleuvait, il faisait froid. J'avais peur... Sous mes pieds, l'herbe était boueuse. Le vent soufflait tellement fort qu'on aurait cru qu'il arrachait les arbres de la forêt non loin de moi. Les éclairs faisaient rage dans le ciel. Je courrais. Mes vêtements étaient trempés. Mes parents m'avaient laissé une paire de dague qui étaient accrochées à ma ceinture. Elles brillaient sous la lueur de la lune. L'eau ruisselait sur mon front. J'avais mal aux jambes. Soudain un éclair manqua de me toucher et je tombai. Affalé dans la boue, tremblotant, je finis par perdre connaissance...
Je me réveillai lentement, mon crâne me faisait mal. J'étais allongé dans un lit. Une commode, en bambou, était près de moi. Y était posée une bougie éteinte. Après avoir pris conscience de ma situation, je vérifie si mes dagues étaient toujours là. Elles étaient très importante pour moi; c'était le seul présent de mes parents. Je ne savais pas encore bien m'en servir mais je m'étais promis qu'un jour j'y arriverais. Je me levai, descendit les escaliers sans faire de bruit. Au rez-de-chaussée, dans la pièce à gauche des escaliers, j'aperçus une créature à la pilosité très élevée, qui marchait en rond dans la pièce et semblait parler à quelqu'un. Après réflexion, je me rendis compte que c'était un Sadida. Mon ventre gargouilla, tou à coup. Le Sadida me vit et me pointa du doigt."Viens, dit-il, je ne te ferais pas de mal. Allez approche-toi."
-Je m'appelle Asturias et c'est moi qui t'ai vu dans cette prairie hier soir. Je te présente Scianlok, c'est un ami, il vit ici aussi. Enfin c'est plutôt une sorte de "squatteur".
Le Sadida me montra une personne assise sur le fauteuil en train de boir. Je reconnus tout de suite que c'était un Osamodas, à cause du fait qu'il y avait un petit tofu près de lui, qui courait partout et manqua de renverser une cruche.
-Bonjour à toi! Moi, comme Asturias te l'a dit, je m'appelle Scianlok. Mais toi, comment tu t'appelles?
-Et bien moi c'est Iork, dis-je d'un ton peureux.
-Iork!? Enfin ce n'est pas toi qui a choisi !, dit-il avec un rire gentil.
Je fus presque vexé par la remarque qu'avait fait l'Osamodas.
-Oui, bon maintenant les présentations faites, nous allons nous remplis l'estomac car il y en a un qui a surement faim, fit-il en m'adressant un clin d'oeil.
Je souri, et me dépêchai de suivre le Sadida; car en effet, j'vais très faim.
Pendant le repas, je leur racontai ce dont je me souvenais. Ils acceptèrent de m'héberger à une condition (Eh oui...). De les aider à couper et ramener du bois. J'allais autrement dit devenir bûcheron.
Le temps passa, je grandis bien entouré, à force de taper sur des pauvres troncs sans défense, je m'étais sans doute endurci. Dans la forêt, je me battais contre des sangliers ou autres larves afin de m'exercer au combat rapproché. Peu à peu, je me fis un cercle de bons amis. J'entrai dans une guilde. Je gagnais mon argent en allant couper du bois et en faisant des planches pour les plus offrants. Seule une chose manquait, selon mes amis, mon alignement... Je ne penchai pour aucun des deux côtés déjà existant: Anges et Démons.
Mais un jour, à la taverne, alors que je buvais une bonne bière bien méritée. J'entendis parler d'un fameux 3° alignement. Un cln qui veniat d'être créé. Des personnes vendaient des services contre des bourses de kamas. Le concept me paraissait intéressant. Je me dirogeai donc vers Astrub.
Je marchai. J'arrivai enfin devant les murailles. J'eu bien sûr le droit à de multiples questions, afin de pouvoir entrer dans la cité, de la part des gardes (avec un tête de mort, il est difficile de faire quoi que vous êtes un gentil). J'entrai donc après quelques négociations. Et après avoir dépassé le Zaap, je me retrouvai donc devnt cette importante maison au coeur de la cité.
Devant l'ampleur de la maison, je fus pris de frissons, je l'avoue (Que cela reste entre nous, bien sûr). Une goutte de sueur finit par couler le ong de ma joue. Je montai les marches de l'escalier une à une. Et pas à pas, m'avança sur le palier. Ce moment me parut particulièrement long... Je finis par avoir le courage de pousser la porte...
Et je vis...