La vie d'une mort.

[Hrp] Donc désolé de tous recommencer mais la 1° histoire ne correspondait pas assez à mon sram (je l'avais écrit quand je ne jouais encore qu'à peine mon sram). Sur ce bonne lecture et faites vos critiques merci =) [/Hrp]

Chapitre I Enfance.

Mon père? Un simple disciple sram ne volant que pour nourrir sa famille.
Ma mère? Une femme à la fois sublime et à la fois Calme et à l'écoute.
C'est l'union de ces deux personnes qui donna au monde un Iop lâche et un Sram courageux.
Lors de ma naissance mon destin et celui de mon frère étaient déjà tout tracés.
Nous étions jumeaux. Notre mère nous mit au monde le 23 Descendre 606.
Mon père décida que je serais disciple de Sram pour le succéder, et que mon frère serais disciple de Iop pour racheter notre honneur à la famille.
Il décida de présenter à nos deux dieux leur futurs disciples.
Sram décida de me laisser pourrir dans le cimetière d'Amakna pour que ma peau se décompose et que lorsque que j'aurais l'allure d'un chafer nu mon éducation commencerait.
C'est de là que me vint mon physique de squelette blanchâtre.
Malheureusement mon père ne choisit pas comme il l'aurait fallut nos Dieux respectifs.
Mon frère était fourbe, lâche, cupide et avare et moi j'étais courageux, fort et je maniais l'épée mieux que personne.


Mais un jour la milice d'Amakna vint chercher mon père... Il risquait la prison à vie...
Mon frère, prit de colère bondit... Loin... Très loin, il fuyait...
Moi, sans aucune hésitation je couru vers les miliciens brandissant mon épée...
Je fut stoppé net par un disciple Xelor.
Celui-ci avait arrêté mon corps sans même y toucher.
"Un jour peut-être tu pourras tenter de faire la lois, mais ce jour n'est pas arrivé"
Voilà ce que dit le Xelor.
J'avais 16 ans et je sus que je ne reverrais surement jamais mon père.
Mais l'occasion se présenta...
Je put le voir une dernière fois pendant son procès.
L'assemblé était pleine. Aucune victime. Que des amis de la famille ou des connaissances.
Personne n'avait porté de plainte contre mon pauvre père.
Seul Allister voulait "sauver son royaume des bandits."
Mon père, dans son banc d'accusé ne leva d'oeil avant que le sanction ne tombe: "Prison a vie."
Pour des petits vols jamais une seule victime... La haine commençait à monter en moi
Il me regarda de l'autre bout de la salle et dit :
-Kroff ton frère n'est pas là et tu aurais du faire comme lui! Cours vas-t-en Ils vont t'arrêter aussi! Cours!
Des gardes surgirent d'un porte et se dirigèrent vers moi.
A ce moment, la foule prise de peine et de compassion se leva et empêcha les gardes de s'approcher de moi.
Pour la première fois de ma vie je devais fuir.
Une course poursuite s'engagea dans les couloirs du château d'amakna.
Les gardes après s'être frayaient un passage dans la foule se mirent à mes trousses.
Ils avaient l'avantage d'être sur leur propre terrain. Chaque fois que je tournais je priais pour qu'il n'y ai aucun garde en face de moi.
A un moment alors que les gardes me rattrapaient je fis la grave erreur de me retourner pour voir leur progression.
Ces quelques secondes d'inattentions me firent foncer droit dans une fenêtre... Ma chute commença...


A suivre

[Bon debut pas mal]

[Voilà une petite suite, faites vos critiques c'est permis =)]

Chapitre II : Chute libre.

Je tombais... La chute paraissait sans fin...Les gardes me regardaient tomber...
Je me disais que je vivais un conte de fée et
qu'une charette remplie de paille allait se trouver en dessous de moi...
Puis soudain un bruit sourd se fit ressentir.
Mes os c'étaient brisés, mon crane fracturé... Je sentais ma fin arrivé...
"Ça y est, je suis déjà mort... même pas eu le temps de me plaindre de ma vie."
Les gardes qui en avaient eu marre de me voir agoniser allaient arriver pour m'achever.
J'imaginais encore mille façons de suvrivre...
Mais aucune ne paraissait réalisable, les gardes arrivaient, encore quelques mettres.
Et à ce moment, mes dons prirent le dessus.
Un double sorti d'une de mes cottes, il me porta et commença à marcher Les gardens,
surpris s'arrétèrent net.
Le double me prit dans ses bras et marcha paisiblement, il me ramené chez moi.
Les gardes étaient pétrifiés, aucun ne me poursuivit.
En voyant la maison je me senti légé, il ne pouvait plus rien m'arriver, j'étais soulagé,
je n'avais plus le besoin de me battre pour survivre. Le double me déposa sur mon lit,
Je tombais dans un coma profond.

Continue,c'pas mal