Bonjour, je suis Kyham, si je suis ici aujourd'hui devant vous tous c'est pour vous raconter mes chronique, que j'ai nommés les Chroniques du Sang, en l'honneur de mon dieu, de ma nature, et de ceux qui ont donné leurs sang pour que je puisse écrire cet histoire.
Mais tout d'abord, je vais vous parler un peu du moi d'aujourd'hui, afin que vous puissiez en savoir un peu plus. Je suis un Sacrieur, comme je l'ai dit plus haut, et je possède un cercle de puissance de trente et un. Enfin, je vois qu'il n'y avait pas grand chose à dire du moi d'aujourd'hui... bon! Et si nous commencions mon histoire?
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- Maitre?
- Oui, jeune disciple?
- Pourquoi nous battons-nous?
- C'est le destin, nous nous battons pour nous-même, pour notre terre, pour notre famille, pour nos amis, les raisons ne manque pas.
- C'est pas des raisons ça...
- Ah oui?
- Oui.
- Et pourquoi, jeune disciple?
- Et bien, je ne me bat pas pour moi-même, ca m'apporterais quoi? Je ne me bat pas pour ma terre, je n'en ai pas, je suis libre. Et je ne me bat pas pour ma famille, je la hais. Alors, pour qu'elle raison je me bat?
- Cherche au fond de toi, tu sauras.
- Bien... maitre.
- Maintenant, commencons notre entrainement, jeune disciple.
- Que vas-t-on faire?
- La gestuel de Sacrieur, comme a chaque jour, ensuite du verras.
- J'aime pas ca, la gestuel, moi...
- Tu aimeras, plus tard. Commencons.
- Bien Maitre...
Chapitre 1: La naissance.
12 Martalo 620, provenant d'une petite maison de bois, a la lisière de la forêt d'Amakna, un cri de bébé naissant se fit entendre. Un jeune disciple de Sacrieur, venait de naitre. Son père et sa mère le regardait, avec beaucoup d'attention car c'était lui qui reprendrais les affaire familiale, plus tard. Le père s'approcha et le regarda de près, l'examinant de la tête aux orteils. Puis, il dit d'une voix forte et grave:
- Cet enfants a l'étoffe d'un chef! Fils, je te nomme Vennos, comme moi, comme ton grand-père, comme tout les chef que notre famille a eu en trois cent ans d'histoire.
- Chéri, tu ne crois pas que c'est un peu trop tôt?
- Non, il en à l'étoffe et je ferai de lui un chef, un puissant!
Vennos laissa entendre un babillement d'enfant, et ses parents se tournèrent vers lui. Ce petit bébé deviendrait quelqu'un de fort, comme l'avait dit son père, mais il ne deviendrais pas comme Vennos Senior le voulait.
Quelque années plus tard...
Vennos avait grandi, et il évoluait sur la voix de Sacrieur avec beaucoup de vigueur. En puissance, il surpassait déjà tout ses copains, et en endurance, il atteignait celle de son père. Sous la tutelle rigide de son père, Vennos devenait peu a peu un homme dur, puissant et sans-coeur. C'était exactement ce que voulait Vennos Senior, mais pas ce que voulait Vennos Junior. Ce dernier ne souhaitait qu'une chose, être libre comme l'air, pouvoir devenir qui il voulait, comme il voulait. Mais échapper a son père n'était pas chose aisé, ce dernier le surveillait tout le temps, mais Vennos attendait son heure, il y parviendrait, il serait libre, un jour.
Ce moment ce présenta sous la forme d'une beuverie. Vennos Senior, afin de fêté ses cinquante ans, avait organisé une fête où il avait invité ses compagnons. Mais la petite fête tourna bien vite à une beuverie, et la plupart des invités étaient saouls avant la fin de la nuit. Bien sur, Vennos Senior avait invité son fils, maintenant âgé de quatorze ans. Ce dernier évitait soigneusement toute sorte d'alcool, afin de resté lucide, ce qui n'était déjà plus le cas de son père, qui avait de la misère a aligner deux phrases. Si Vennos Jr. ne buvait pas, c'était parce qu'il savait que son heure était venu. Il attendrait la fin de la soirée, lorsque tout le monde seraient ivres morts, afin de partir de cette maison pour ne plus jamais y revenir...
Finalement, après de longues heures d'attente interminable, le moment vint. Son père venait de s'écroulé au sol, dans ce qui semblait être un coma. Lentement, Vennos se leva de l'endroit où il faisait semblant d'être assoupi et alla chercher ses effet personnel, qu'il avait déjà empaquetés dans sa chambre. Sortant de sa chambre, il se dirigea lentement vers la porte, se retourna, regarda pour une dernière fois la maison de son enfance, qu'il savait maintenant terminée, et sorti, fermant la porte derrière lui. Fermant la porte sur son enfance.
Chapitre 2: La rencontre entre l'Apprenti et le Maitre.
Les jours devinrent des semaines et les semaines devinrent des mois. Vennos voyageait a travers le monde, travaillant lorsqu'il voulait dormir quelque part, volant lorsqu'il ne pouvait rien faire d'autre. C'est ainsi que, alors qu'il avait tenté de volé une baguette de pain pour souper, il se vit obligé de s'enfuir, poursuivit par le boulanger en colère. S'enfoncant a travers la lisière de la Forêt d'Abraknyde, il fut attiré par une lueur orangé, filtré a travers des buissons. S'approchant, il remarqua bien vite que c'était un feu de camp qui produisait cette lueur, et que par dessus ce feu de camp grillait des Champas de toute les couleur, ainsi que de la viande. N'écoutant que sa faim, il s'approcha, regardant autours pour être sur d'être bien seul, et décrocha la broche de nourriture. Il se mit a mangé comme un goinffre, et c'était normal, il n'avait pas mangé depuis des jours.
Cependant, alors qu'il finissait le dernier Champa, un craquement se fit entendre, aussitôt suivi d'une voix grave.
- Qu'est-ce que tu fais là, jeune homme?
Vennos sursauta de peur, il se retourna, pour voir un Disciple de Sacrieur derrière lui. Ce dernier portant un long manteau noir, et le regardait intensement. Il n'avait pas l'air faché par contre, juste intrigué. En begayant, Vennos prit la parole.
- Je...Je suis désolé, Sire, ma...Mais j'avais tellement faim, et l'odeur alléchante de vot...Votre nourriture ne m'a pas permi de resister...
Il pensait que le Sacrieur se facherait, le ferait s'éloigné a coup de pied, mais ce que l'homme fit le surpris. Le Sacrieur éclata de rire, puis il s'approcha. Lentement, ignorant Vennos, il prit la broche de bois par terre, et remit quelque champa et un peu de viande dessus, avant de la remettre par dessus le feu. Finalement, il alla s'asseoir devant Vennos, et le regarda fixement.
- Je t'ai déjà vu quelque part, non?
Vennos prit peur, pensant qu'il avait été reconnu.
- Euh, je ne crois pas, Sire, je ne suis qu'un voyageur...
- Mouais, c'est ca, hein, Vennos Junior?
Vennos tremblait maintenant de tout ses membres. Il ne voulait pas retourner là-bas, il ne voulait pas revoir sa famille. Lentement, en bagayant, il prit la parole.
- Je... je cro...crois que vo...vous tr...tr...trompé, sire...
L'homme eut un sourire, se pencha en arrière, soupira, puis le regarda a nouveau. L'émotion que Vennos voyait dans les yeux de l'homme le pris de court. C'était... de l'affection.
- Tu n'as pas à avoir peur, Vennos. Je ne te ramènerai pas chez tes parents, si tu ne le veux pas.
- Si..sire, merci...
- Et bien, par contre, je vais t'obligé de faire une chose.
- Quoi?
- Partager se repas avec moi, pardi!
Il prit la broche, la cassa en deux, et envoya l'autre moitié à Vennos. Ce dernier l'attrapa au vol, puis, après un dernier regard a l'homme, se mit a mangé les champa et la viande qui était dessus. Une fois le repas terminé, Vennos se mit a regarder l'homme, qui finissait lentement son repas. Le Sacrieur devait avoir senti le regard de Vennos, car il se retourna vers se dernier.
- Qu'y a-t-il?
- Qui êtes vous? repondit Vennos au tac à tac.
- Pourquoi veux-tu savoir ca?
- Et bien, vous me connaissez, savez que je suis recherché par ma famille et qu'il y a environ dix mille kamas de recompense pour ma capture, mais vous ne voulez même pas me ramener, qui êtes-vous?
- Je suis libre, voilà ce que je suis.
- Libre?!?
- Oui, je suis un homme libre, sans aucune attache.
[En cours de redaction]