Sokaii aux mains géurriseuses :
Chapitre 1 : Naissance d’un don.
31 Octolliard 616
« Aïee !! »
Champs au inglasses…Yopmazo subit alors ce qui restera sa première cicatrice…
Il vient de ce faire ouvrir la largeur de l’avant bras par un tournesol sauvage effrayait par ce jeune et fougueux fils de Yop.
Alerter par ces cris…j’accourt voir ce qui ce passe, très vite je m’aperçois de la blessures, plutôt mince mais pour autant douloureuse, par chance un vieux réflexe de Yop qui fut de lancer un bâton sur la bête l’avait fait fuir…sûrement un enfant.
Paniquer pour ce qui a l’époque me semblait être très grave, la seul chose qui me vint a l’esprit fut une histoire sur les talent d’Eniripsa capables d’apaiser et même faire disparaître les blessures.
J’était a l’époque naïf…mais pourtant peut être pas tant, sur de moi…enfin presque, je me mit alors en tête d’utiliser le talent qui m’était en théorie offert par la déesse pour soigner le pauvre Yop.
Je mit mes deux mains au dessus de la plaie et concentra toute mon énergie dans celle ci en fermant les yeux…au bout de quelques secondes je réouvrit les yeux pour voir le résultat…
Rien ! la plaie était belle et bien toujours la et les pleures de mon frère ne cessaient de s’intensifiés .
Enervé par mon incapacité a lui venir en aide, je recommença de la même façon …cette fois si, une étrange lumière apparue sur mes mains et l’énorme plaie commencer a ce refermer.
A peine cinq secondes après, la blessure n’était plus qu’une cicatrice indolore a la grande joie de Yop.
Chapitre 2 : Au service du peuple.
Quelques semaines après l’incident, toute le village avez recourt a mes dons médicinaux, a ma grande joie.
Si bien que les récompenses offertes par les villageois en guise de bonne fois commencer a me faire un petit trésors.
Une coupure, un coup de bâton, une brûlure…tous y passer, a conditions que celle si ne soit pas trop grande…
Très vite je m’intéressait a ce dons, Je passer mes journée a la bibliothèque d’Amakna pour en apprendre le moindre secret, mes mains étaient a présent ma fierté, les histoire d’un vieillard du village me passionné, il me parler sans cesse d’un vieux sage qu’il aurait rencontrer dans sa jeunesse, qui possédait de tel don, disait il, qu’il aurait pu réveiller un mort…
Pendant des semaines j’allait voir ce vieillard, pour m’entendre raconté sans cesse les même histoire, qui me passionné toujours autant…
Chapitre 3 : Sous une lune rouge sang.
Presque un ans avait passé depuis la découverte de mon dons.
Malgré celui ci je n’était pour autant pas dispenser d’aider mon père et mes frères au champs.
Ce soir la, la corvée prenait fin, et nous partions ainsi vendre la farine de la semaine a la ville d’Astrub.
Sur un sentier un peu écarter, prenant la direction du château d’Amakna, sensée être un raccourcit…
Nous arrivions a proximité de l’immense porte du château ou réside encor le grand Allister.
Le bruit d’une dragodinde effrayait par nos pas a une heure habituellement calme me fit sursauter, je fila vers mon père qui était figer, la, devant l’ombre d’une maison.
Celui ci fit signe a moi et mes frères de nous cacher dans un buisson…
Etonner de son étrange réaction…et pour cause, je ne voyait rien devant lui dans l’obscurité de la nuit, quand trois énorme silouhettes se dessinèrent peu a peu dans mon champs de vision.
nous allions assister a ce qui changera le cours de nôtre existence.
Trois démons envoyer en mission par Brakmar, assassinèrent nôtre père.
A genoux devant son corps sans vie, je pleurait devant lui en ésséyant encor et encor de soignait ces blessures…impuissant.
Trop tard…son âme avait déjà quitter son fragile corps de paysans.
Chapitre 4 : nouvelle vie, nouveau but.
Voilà deux nuits et deux jours que mes frères et moi marchions sans but, sans savoir d’ailleurs ou nous étions…
Cet sorte d’exile, consistant a nous entraîner d’arrache pieds dans le but d’accomplir notre vengeance, dura quelques année, c’est d’ailleurs je pense la période la plus importante de ma jeunesse.
Très vite, n’oubliant jamais les histoires contées par le vieillard du village, je me mit a rechercher le vieux sage dont il m’avait tant parler, si bien sur il avait un jour exister …
Je finit par le trouver…je ne serait vous dire combien de temps on durées mes recherches car a cette époque de ma vie la notion du temps avait un peu disparut.
Cette homme, qui d’ailleurs, étais plus un débris affaiblit par le temps, avait en effet d’inégalables dons médicinaux, qu’il avait accepter de m’apprendre…
Le temps aller bientôt avoir raison de lui, le fait d’avoir un disciple lui permettrait de faire survivre ces dont et techniques a travers lui.
Pendant des années je ne cessa de perfectionner ma magie a ses coté, son talent m’impressionner chaque jour de plus en plus.
Bien qu’aujourd’hui encor je n’ai toujours pas atteint son niveau, tous ce que je sais et maîtrise des soins vient de lui.
Chapitre 5 : Douce nuit sanglante
Une dizaines d’années après notre exile, nous nous somment rendus sur les terres Brakmariennes.
Gisgoul, terres démoniaques ou ce retrouver nombres de démons.
Nous les avions immédiatement reconnus.
Un regard suffit a leur faire comprendre notre désirs…
Après un combat acharné, leurs têtes tombèrent enfin.
La vengeance accomplie…nous rentrions a Amakna.
Chapitre 6 : Sur les terres de nôtre enfance.
Je passer beaucoup de mon temps sur le port, ou même a Sufokia, l’air de l’océan et le vaste horizon me permettait de réfléchir, nous avions reprit le cours de notre vie…presque comme nous l’avions laisser.
Les terres que j’avait connues avaient bien changeaient, ou peut être était-ce seulement dans ma tête.
Après quelques mois passer dans nôtre ancienne battisse qui était a présent en ruine, ma vie me semblait bien monotone, mais frère avait la même vision des choses…
J’avais entendu parler lors du retour, de ces mercenaires qui siégeaient a Astrub, ainsi, fort intéressait a l’idée de faire partit des leurs, j’appris les parchemins concernant leur clan, puis après quelques semaines d’études de ces documents je me rendait a leur demeure, la bat j’y decouvrir bien plus que ce a quoi je m’attendait, ce n’étais pas seulement un clan de mercenaires, qui accomplissait des taches contre une bourse de kamas, nombre d’aventurier, désireux ou pas de devenir mercenaires ce retrouvait la bas, quand au clan, il étais très convoité, ces membres respecter et leur histoire et leur éthique me passionait…
C’étais sur, Je voulait faire partit des leurs.