[ Terminé. ] Les clés du bonheur [ Le 10 Aperirel à 21h30. ]

Compte rendu rédigé par Nemeo, Jeune Nedora à ce jour.



Je fus ravi de remarquer qu'un bon nombre tenait à vouloir résoudre le mystère de cette carte, trouvée dans le bateau du Chouque, il y a deux mois. Elle était énigmatique pour trois raisons. Premièrement, ce qui sautait aux yeux, c'était le fait que certaines régions n'étaient pas à leur place. Un vrai puzzle.
Deuxièmement, quatre inscriptions Sufokiennes signifiant "A l'intersection de" étaient peintes à même le parchemin.
Enfin, il était annoté : "Quatre clés sont nécessaires pour continuer l'aventure."

Spoiler:

Nous avions tout le nécessaire pour partir. Potions, en-cas, boissons, ect... Je me dois, d'ailleurs, de remercier Kirito et Vin pour ces douces attentions ! Nous partîmes du postulat que le fait qu'il y ait quatre clés mais aussi quatre inscriptions ne pouvaient être fortuit. Nous décidâmes donc de nous rendre au premier endroit indiqué par la carte : le pont reliant le continent Amaknéen à l'île des porcos. Vhexia nous y a rejoints bien qu'elle soit restée très discrète même si je suis convaincu qu'elle suivait plus ou moins ce qui se passait. Sakashima eut la bonne idée de demander plus d'informations à un vieillard qui semblait passer sa journée à parler de l'eau qui clapote mais, malheureusement, il ne nous aida en rien. C'est un disciple de Crâ du nom de Guillaume-Archer qui trouva une bouteille dans l'eau avec une vieille clé à l'intérieur et grâce à la prestigieuse monture emplumée de Liloump, nous avons pu récupérer l'objet de notre quête après avoir brisé le verre.

Cette fois, nous en étions certains ! Nous devions nous rendre aux quatre points indiqués par la carte. C'est pourquoi nous prîmes la direction des champs de Cania. Balthazar, qui nous avait rejoints sur la route, n'eut pas de mal à remarquer la bouteille tant convoitée dans un arbre. La clé tomba malencontreusement dans un puit ce qui nous retarda. Grâce aux portails d'Ilamai, ce fut assez rapidement réglé. Ce ramdam attira l'attention d'un disciple de Iop qui gardait un œil sur nous depuis notre arrivée. Il s'est présenté comme Erats, un adorateur d'Eratz le célèbre bandit de la région. Il avait en sa possession les deux autres clés mais refusait formellement de faire équipe. Sûr de lui, il nous provoqua en duel à l’arène de Bonta. Le gagnant remporterait les clés de l'autre équipe.

Décidée à trouver le trésor, notre petite équipe partit pour la cité blanche. Comme Erats était parti devant, Sakashima eut le temps de monter un petit stratagème. Au cas où notre ennemi tenterait de nous devancer. Elle demanda à Dakotha de porter une fausse bourse à clés afin que le disciple de Iop chafouin ne vole pas les vraies s'il souhaitait nous tendre un piège. Usagi se tenait prêt à défendre son élève si besoin. Toutefois, Erats s'est montré honnête, si on peut le dire. C'est face au public ravi de l'arène que les aventuriers qui m'accompagnaient, sous la protection des membres du clan tels Nilaewen ou Fealhach, ont réussi à le mettre à mal. Frustré mais pas sans honneur, Erats donna une clé à Guillaume-Archer et une autre à Sakashima.


Il ne nous restait plus qu'à résoudre le mystère de la carte. Nous conclûmes qu'il suffisait de dresser deux droites à l'aide des points sur la carte, une fois les régions remises à leur place.

Spoiler:

Une malle énorme nous attendait sur la plage où les deux segments se rencontraient. Nous utilisâmes les quatre clés afin de découvrir ce qui s'y cachait. Une montagne de kamas assouvit les désirs de trésors de certains comme Do-Vahkin. Les kamas étaient accompagnés d'un pendentif et d'une lettre que voici :

Citation :

"Ma chère Toupina,

Cela fait tellement de temps que j'ai rejoint l'équipage du Chouque que je n'ai plus la notion du temps. J'ai toujours gardé ce pendentif qui était tien quand tu étais encore à mes côtés. Le chagrin ne cesse de me ronger et même si me ranger aux côtés du Chouque me fait passer le temps, rien ne me rendra le sourire. J'aimerais tellement te revoir et te faire voyager comme je te l'avais promis.

Je t'aime, Toupina,

Nepido, ton père."

Nous pensâmes qu'il était décent de laisser le pendentif avec la lettre dans le coffre par respect. Allons-nous rencontrer Toupina ou Nepido, un jour ? Quoiqu’il en soit, cette expédition a vraiment été des plus palpitantes et j'espère repartir à l'aventure très vite !