Le Clan de mercenaires de Nedora Riem (DOFUS - Orukam)
 
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 L'art du Enu Hop Kuen Do

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MessageSujet: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyMer 22 Juil 2009 - 19:11

Chapitre un, le début des temps:


L'an 16, année où un cadeau était envoyé du dieu Enutrof à mes chers parents. La bataille de l'aurore pourpre terminé, c'était le début de la guerre entre les deux factions du monde des 11. À Brakmar, cité obscure, mal sainte et macabre, se tenais une réunion très importante qui peut changer le déroulement du conflit. Astery était au quartier général de Brakmar en quête de négociation. C'était une sram aux couleurs enflammés, assez haute sur patte et dont la voie était douce et pacifique. Elle n'avait aucun argument valable pour convaincre Oto mustang. Il ne voulait rien savoir. Le seul moyen de le convaincre était de laisser la cité lui tombé entre les mains. Dans le coin de la salle, le générale Fox of Hell, le renard de l'enfer, buvais les paroles de la bontarienne comme si il dégustait l'un des meilleurs nectars existant. Le renard était pour Oto mustang le point tournant de la guerre, il était musclé, intelligent et le plus rusé du monde des 10. Astery sentait sa tête lui faire mal, voulant garder tête à Mustang, ne cessa d'argumenter.

-Nous vous laisserons tout le territoire de Cania ainsi qu'Astrub, dit-elle désespérée
-La guerre n'existe que pour atteindre un but et j'accomplirai mon but, répliqua-t-il.
-Mais...

Tout en prononçant ces mots, Astery fût interrompu par le renard. Elle voulais continuer, mais lorsqu'elle remarqua le petit clin d'oeil du général, elle se tu.

-Maître, arrêtons les négociations. Vous voyez qu'elle ne veut rien comprendre.
-Elle veut argumenter, moi je veux la noyer dans ses paroles
-Je vous dis d'arrêter, je vous expliquerais plus tard.

Sur ces mots, Oto mustang ordonna à ses gardes de renvoyer la sram. Il savait que Fox avait une raison valable parce qu'il avait toujours raison. Les gardes empoigna la bontarienne sans aucune délicatesse et la largua à l'extérieur.
Astery, venant de perdre un combat, se mise à crier de tous ces forces. Elle devait trouver un nouveau plan pour vaincre
diplomatiquement Oto mustang. Sur le chemin du retour, un homme à la tunique foncée monté sur une dragodinde rousse
l’arrêta.

-Qui êtes-vous? Dit-elle

L'étranger retira ça capuche. Surprise, elle reconnue l'homme qui avait mit fin à la discussion.

-Que me voulez-vous? Pourquoi, vous me suivez?

L'homme prit une grande bouffée d'air.

-Enchanté chère bontarienne, Je me surnomme Fox of Hell. Je vous ai écouté tout à l'heure et je vous admire. Venir seul chez l'ennemi et lui tenir tête, vous êtes une vraie combattante.
-J'aimerais vous revoir demain à la tombé du jour. J'aimerais discuter avec vous sur la guerre qui fait rage. Je vous attendrez à l'ancienne mine des landes au nord de Brakmar.

Sur ces mots, le général quitta rapidement la femme. Astery encore confuse par l'étrange visite de l'ennemi se mise à réfléchir. Pourquoi veut-il me revoir? Et pourquoi veut-il parler de la guerre? Perdu dans ces pensées, elle reprit la route vers une caverne qui lui sert de logis depuis quelques jours. Durant son sommeil, la bontarienne fît des rêves bizarres, tous en rapport avec la guerre, le renard et son rendez-vous prochain à la mine. Elle se voyait assassinée par le général, voir sa cité envahie, voir son peuple réduis à l'esclavage.

! BOUM !

Le bruit d'un gros rocher s'écrasant le long de la falaise se fît entendre dans toute la caverne. Sur un reflexe incontrôlable, Astery se leva plus vite que l'éclair et s'assomma sur la paroi rocheuse. Aie! Est-ce que j'ai rêvé? Est-ce que je suis morte? Est-ce que je dois vraiment me rendre à cette mine? Tous ces questions la tourmentai depuis son réveille assez brutal. Se remémorant la soirée d'hier, elle savait que c'était la réalité. Le soir venu, la jeune bontarienne se rendit à l'endroit indiqué par le renard. À sa grande surprise, lorsqu'elle entra dans la mine, elle aperçue un homme derrière une table ornée de deux chandelle éclairant faiblement les alentours. Elle rejoint l'homme.

-Vous êtes en retard, dit-elle sur un air moqueur.
-Désolée.

-Trêve de plaisanterie, reprit-il, Je suis ici pour vous parler de l'avenir de la guerre. Vous savez comme moi que cette guerre est totalement inutile, que le bien ne peux vivre sans le mal, que Bonta ne peux vivre sans Brakmar. Je sais aussi que votre cité vous porte dans son cœur, que vous êtes pour eux, l'espoir, l'avenir...

Il fît un long silence. Après mûre réflexion il reprît la parole.

-Et je suis celui sur qui toute ma cité a foi. Je suis le point tournant de la guerre.

Astery reconnu dans son ennemi la même flamme qui l'anime, elle admirait l'homme, elle voulait en savoir plus sur lui.

-Que faire si nos deux forces s'annulent?
-C'est pourquoi je vous ai convoqué ici ce soir, reprit-il, Je voulais vous proposez un marché.

Un marché? Que pouvait-il proposer? D'un côté une bontarienne et de l'autre un brakmarien. Astery était confuse, elle voulu s’enfuir et ne jamais connaître le marché de son ennemie. Mais son cœur était avec lui, elle avait une confiance indestructible envers lui. Elle le laissa continuer.

-Comme j'ai pu le remarquer, vous ne voulez pas la guerre, moi non plus. Je sais que nos cités se fient sur nous pour mettre fin à la guerre. Alors je vous propose ceci.

Il y eu un silence soudain. Le renard semblait avoir de la difficulté à prononcer sa prochaine phrase. Il reprit.

-Exilons-nous. Je connais un endroit secret, où j'y ai été élevé. Allions nos forces et trouvons un moyen de mettre fin à la guerre. Le calme et la distance nous empêcherons d'avoir des problèmes en trop.

Sur ses paroles, le renard vît Astery disparaître dans l'ombre. Tentent de la rattraper, il perdu espoir. Elle doit y réfléchir, évaluer les pour et contre, les impacts se dit-il à voix base. Éteignant les bougies, il disparu à son tour dans l'ombre. Les jours passèrent, les batailles s'accumulèrent, les fausses étaient pleines de cadavres. Astery était resté dans sa maison à penser, rêvasser jusqu’à ce qu'elle décide de changer l'allure de la guerre. Elle allait s'exiler avec le brakmarien et ensemble trouverons la solution à la guerre. Plus déterminé que jamais, sous un ciel étoilé, la jeune femme parcouru tout les plaines de Cania et les landes jusqu'au quartier général de Brakmar. Là-bas, elle demanda de parler avec le fameux Renard. À sa grande surprise, elle reçu, non pas l’homme, mais une lettre, qu’elle ouvrit et lit :

Cher Bontarienne,

La guerre n’est pas la solution pour moi. J’ai préférer quitter cette univers que l’un nomme monde des 10 et laisser les supers puissances le gérer à leur façon. Si tu as reçu cette lettre, alors, tu veux tout comme moi t’exiler. Rejoignez le port de Madrestam et naviguer au nord nord-est. Deux jours vous seront nécessaires pour atteindre l’île au nord des terres de Moon.

Bonne Chance
Fox of Hell

Astery enfouie la lettre dans ces poches et quitta sur le champ. La journée suivant, ayant fait ses bagages et atteler sa dragodinde, elle traversa les montages des Koalaks et tout la forêt amaknéen pour finalement arriver au port de Madrestam. Sur place, elle vole une petite barque qui semblait sans propriétaire et navigue vers le large direction île de Moon.

Partie du livre manquant.

Quelques années plus tard, ayant finalement trouvé la solution ultime, ils décidèrent de retourner sur les terres du monde des 11. Prenant bien soin de laissé leurs petite Symbiosis sous la tutelle des parents du renard, ils quittèrent l’île secrète pour rejoindre leurs anciennes cités et finalement mettre fin à la guerre. Depuis ce jour, des rumeurs circulantes disent que les âmes de deux amoureux chantent aux côtes de l’île de Moon.


Dernière édition par Symbiosis le Dim 26 Juil 2009 - 22:27, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyMer 22 Juil 2009 - 19:14

Chapitre 2, La partie manquante:



Ce fût le 27 jouiller 16 où je vis pour la première fois la lumière du jour. Jusqu’à l’âge de 8 ans, âge où notre conscience n’est pas très développée, je fusse élevée à la bonne vielle façon amaknéen par mes grands parents. Étant leur unique petit enfant, ils me chérirent du mieux qu’ils le pussent. Alors, à l’an 24, mon grand-père m’apprit les bases de la chasse, la survie en forêt et m’a donner la soif de l’aventure. De temps à autre, on allait s’aventurer dans les cavernes, chutes, champs de roses démoniaques etc. Là, il m’inculqua les bases du combat, la défense et l’attaque. De l’autre côté, ma grand-mère m’apprit la politesse et le pardon. Ensuite, ayant des talents de chasseuse très aiguisé, j’apprise la cuisine et bien évidement à laver la vaisselle. Ma vrai destinée commença le jour de mes 21 ans, mon grand-père m’avais juré qu’un jour il me donnerait le plus important des cadeaux du monde entier. J’ai encore cet épisode dans ma tête…

-Symbio, vient ici! dit mon grand-père, c’est le temps pour toi de recevoir ton cadeau de fête.
-J’arrive, dis-je.

J’enfilais mes sandales et le rejoint à fond de train. J’étais sûre de recevoir un super gros cadeau, un nouveau marteau? Une dragodinde? Qui c’est peut-être même une bourse en kamas. Je vins m’assoir à ces pieds. À ma grande surprise, il n’y avait rien de gros, ou d’impressionnant, qu’une petite enveloppe. En me tendant mon cadeau il dit :

-Ma chère Symbio, il est temps pour toi de faire ton propre chemin. Je t’ai enseigné les rudiments de survie et de combat. Tu es prête à présent. Mais avant de partir, j’ai juré à tes parents de te la remettre quand tu auras la maturité pour la recevoir. Voici les dernières paroles de ton père et ta mère.

Il me tendit l’enveloppe et reprend :

-Voici ce qui te poussera à vivre. Lit là précautionneusement et ne révèle son contenue à personne.

J’embrassai mon grand-père, larme à l’œil, cœur joyeux. Le soir venue, sous la flamme d’une bougie, j’ouvris la fameuse enveloppe. À l’intérieur reposait un vieux parchemin jaunît par le temps. Un long message y était inscrit. Approchant le parchemin de la bougie, je commençai à lire.

Chère enfant,

Si tu lis cette lettre, c’est parce que tu as maintenant la conscience mature et l’âme pure. Ce qui est transcrit ici sera nos dernières volontés.
Le monde des 11 est en pleine guerre, maman est bontarienne et papa est brakmarien. Nous avons quitté le continent pour trouver une stratégie pour mettre fin à la guerre. C’est à ce moment que tu es venue au monde. Ton âme était forte, combattante et pacifique. Mais ne voulant pas que tu sois élevé à la manière de deux peuples meurtriers, tes grands parents se sont occupé de toi jusqu’à aujourd’hui. N’ayant aucune stratégie pour mettre fin aux combats bonta/brakmar, nous avons décidé de retourner à la guerre, tel étant notre destinée. Mais une chose que nous avions juré de te remettre se retrouve entre les mains de ton grand-père, il est le seul à en connaître l’existence de cet art oublié. Avec ceci, promet nous de non pas mettre fin à la guerre, cela est impossible. Mais de protégé les gens du peuples, de toutes actes bontarienne ou brakmarienne.
Vie heureuse, ne regrette rien et surtout fait-nous honneur.
Tes parents qui t’aiment.

Je relis la lettre à plusieurs reprises, jusqu’à ce que le sommeil prenne contrôle de mon corps. Dans mes rêves : guerres, combats, assassinats, haine, mais surtout le secret de mon grand père. Que peut-être ce secret? Et comment va-t-il m’aider à accomplir les dernières volontés de mes parents. À mon réveil, je sentis mon âme déterminé et prête à l’aventure. Je rejoins mes grands parents pour le déjeuner, mon grand père avait le regard fixé sur moi. C’est à cet instant que j’ouvris la bouche et que ma vie changea :

-Grand père, Merci!
-Umm?
-Apprenez-moi cet art, vous êtes le seul à la connaître. Je dois l’apprendre pour exhaussé les volontés de mes parents.

Il semblait contrarié, il marmonnait et parlais à lui-même. Je n’avais jamais vue mon grand-père si déboussolé.
-Symbio, cet art est très couteux et j’en suis la preuve vivante. Je me suis promit de ne jamais l’enseigner et d’enduré la souffrance à moi seul, dit-il sur un ton incertain.

Il quitta la table et s’enferma dans son atelier. Je m’approchai de la porte. Il pleurait, marmonnait à grand sanglots. Je le rejoins, le serrant dans mes bras, il me dit :

-L’Énu Hop…
-Quoi?
-L’Énu Hop Kuen Do. Art de combat créé par le dieu énutrof. Elle est unique, qu’une seule personne peux la pratiqué à la fois. Le pratiquant sacrifie ça jeunesse et est enfermé dans un corps de vieux jusqu’à la fin des temps. Seule la transmission de l’art à une autre personne permet de perdre l’immortalité. Et comme j’ai bien compris, tu veux vivre ma médiocre vie. La puissance n’est rien comparé à la douleur que l’on vie Symbio.
-Ma vie n’est pas importante grand père, ce qui m’importe est celle de des autres, les victimes de la guerre, ceux qui souffrent pour rien. Je veux porter cette souffrance sur mes épaules et ne plus la voir sur celles des gens du peuple amaknéen. Combattre les bontariens et les brakmariens, comme mes parents veulent.
-Telle est ta volonté, je ne peux m’y opposer.

Les mois passèrent, mon grand-père n’était plus le même homme, il me laissait aucun moment de répit. Tous les soirs je me retrouvais à moitié morte, corps meurtrie dans mon lit. Est-ce la douleur que mon grand père parlait? Est-ce pire? Toujours les mêmes questions qui retentissaient dans ma tête. J’apprise le maniement des dagues, pelles, marteaux et haches, le focus mental et surtout l’élimination de la peur. Sept mois ont été nécessaires à mon entraînement. La dernière étape arrivait, celle qui est la plus critique. C’était un jour d’automne, j’accompagnais mon grand père, croyant encore passer une journée infernale. Mais le chemin que nous empruntions était différent. J’aperçue au loin un temple, un grand signe avec un sac était gravé dans la pierre. Nous entrâmes dans le temple, l’air était lourde et faible en oxygène. Tout à coups une voix pleine d’écho retentit dans tout l’endroit.

-Finalement, tu as trouvé un nouvel élève.

Mon grand père me dit qu’il s’agissait de la voix d’Énutrof.

-En effet! Contre ma volonté, elle su me faire changer d’avis. C’est ainsi que je lui ai tout enseigné.
- Alors, qu’attends-tu? Lance le rituel.

Mon grand père me serra dans ces bras.

-La fin est venue pour moi Symbio, je t’aime et je serais avec toi pour l’éternité. Je rejoins mes ancêtres au près d’Énutrof et je te laisse avec tout la souffrance que l’on a enduré. Au revoir.

Devant mes yeux, mon grand père disparu dans un amas de poussière qui vint m’entourer. Je ne respirais plus, j’allais mourir moi aussi. Une souffrance intense s’emprise de moi, je perdais la tête, je voulu crier mais j’en étais incapable. Je regardai lentement la lumière disparaître, ainsi que ma conscience. Rien, plus rien. Que ce passe-t-il? Suis-je morte? Est-ce un rêve? Je me réveillai nu au beau milieu de la forêt. À ma grande surprise, la souffrance était dissipée et je me sentais mieux. Je revins à la maison, les souvenirs assez vagues voyageaient dans mes pensées. De retour à la maison, personne n’y était, je sentais mon visage tout vieux alors, je suis allé chercher une glace. Au premier regard, mon cœur palpitât, je suis vielle!!! Alors, mes souvenirs me revenaient, le temple, la voix d’Énutrof, mon grand père qui disparaît, la souffrance intense. Je compris que j’étais maintenant prête à mettre les pieds sur les terres du monde des 11. Armé de l’Énu Hop Kuen Do, je naviguai vers l’aventure; Honorer ceux qui m’ont donné le plus grand des cadeaux : la vie.


Dernière édition par Symbiosis le Dim 26 Juil 2009 - 22:28, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyMer 22 Juil 2009 - 19:14

Chapitre 3, Le monde d'aujourd'hui:



600 ans, long pour une vie humaine, même inimaginable. Quand j’y repense, mon grand-père avait raison, mes pouvoirs sont merveilleux, redoutables mais la pression que j’ai sur les épaules est extrêmement douloureuse. Par contre, tous les actions que je posse sont un réconfort pour moi-même. 600 ans, vite passé, mais rempli d’action. Lors de ma navigation jusqu’au monde des 11, j’ai aperçue une île au nord-ouest, elle était gigantesque et couverte par la forêt. Pourquoi ne pas commencer ma quête ici? Ça doit bien être cette fameuse terre dont grand-père m’as raconté. C’était ma première découverte, surprenante et inattendue.

J’ai passé environ 10 ans sur cette île avant de découvrir ça vrai richesse. J’ai exploré tous les côtes de l’île, combattu ces monstres bizarres en forme de plantes, ainsi que les kitsous et les mortel firefoux. Mais un jour, m’aventurant vers l’intérieur des terres, j’aperçue une créature beaucoup plus évoluer que ceux affrontés antérieurement. Elle portait une petite tunique en peau d’animal et transportait une longue lance. Je la suivis tranquillement jusqu’à déboucher sur un village bizarre, construit avec du bambou et de la mousse. Je passai des semaines à contempler ce peuple étrange, l’étudier et comprendre leur mode de vie. Un jour assez pluvieux, alors que je m’étais caché dans une grotte pour me reposer, je fis un rêve étrange. J’ai cru que j’étais transporté par ces étranges créatures, qu’ils me faisaient leur prisonnière, ou leur repas. C’est au moment ou j’ouvris les yeux que je réalisai que je n’avais pas rêvé. J’étais ligoté sur une chaise en bambou. Il était une bonne dizaine à me regarder, a me contempler. Ils avaient des visages d’ours avec de petits ronds blanchâtres au niveau des yeux. Parmi eux, un plus costaud avec une peau de yokai firefoux s’approcha de moi. Il prit un air autoritaire et dit :

-Qu’es-tu? Une vielle foux sans poil?

Il parlait ma langue, ou seulement un pouvoir de l’Enu Hop Kuen Do?

-Je… Je suis Sy...Symbiosis, dis-je.
-Symbiosis? Vous faite quoi ici? Je n’ai jamais vue de créature de votre genre, répliqua-t-il.
-Je viens de l’est, d’une petite île. J’ai été élevé entant qu’unique enfant, je n’ai jamais rencontré d’autre gens excepté mes grands-parents. Maintenant qu’ils sont morts, je voyage pour rejoindre le monde des onze.
-Monde des onze? se questionna-t-il.
-Où suis-je, repris-je
-Madame, bienvenue sur Pandala, terre prospère depuis des générations. Je m’appelle Dragonters, chef du village. J’aimerais connaître votre histoire et vous faire connaître la notre. Mais avant, nous allons prendre soin de vous, vous semblez épuiser.
-Je vous remercie, dis-je un peu perdu

Je me fis raccompagner à une chambre par une jeune femme. Pourquoi veut-il me connaître? Pourquoi m’a-t-il accepté? Pourquoi est-il gentil envers moi, je suis qu’une créature inconnue? Je pris un bain de lait de bambou, reçue de nouveaux vêtements et un repas alléchant. Dans la soirée, Dragonters vint me parler, je lui racontai toute ma vie, excepté le don que je reçue d’Énutrof. Ensuite vint son tour, il me raconta l’histoire de sa famille, celle du peuple « pandawa », c’est étrange ours. Finalement, il m’offrit de vivre ici, à Pandala. J’acceptai, pour apprendre la vie en société.

Des années passèrent, j’étais considéré comme un membre de leur famille. N’ayant pas oublié ma quête, je décidai de reprendre la mer vers le fameux monde des 11. Avant de partir, je jurai sur ma vie de revenir finir mes jours sur les terres qui m’ont accueillit lors de mon bas âge. C’est ainsi que je quittai Pandala, le cœur rempli de peine, direction le monde des 11. Je rejoins les terres meurtrières quelques jours plus tard. L’odeur de meurtre et de haine était presque omniprésente. Cette partie de ma vie fût très ennuyeuse, je n’ai même pas à la retranscrire ici. Ce fût le temps des tentatives, je rencontrai premièrement les deux factions que maman et papa m’avais fait connaître dans sa lettre. Les brakmariens avaient des ailes rouges tandis que les bontariens, eux, avaient des ailes blanche. Ensuite, j’ai tenté de trouver le moyen ultime de les repousser des terres amaknéennes, sans succès. Je ne faisais que les combattre en cachette quand l’occasion me le permettait.

L’an 636, fût un point tournant de ma quête. Un jour où j’errais près d’Astrub, un villageois vint me rejoindre. Il se mit à me prévenir; un certain pont avait été construit à l’est du village et un peuple semi-homme, semi-animale voyageais sans arrêt sur cette infrastructure. Semi-homme, semi-animale? Que peux bien être ces créatures? DING! Les Pandawas. À dos de dragodinde, j’accouru sur la côte est. En effet, il y avait belle et bien un pont. Je m’y aventurai jusqu’à déboucher sur mon passé. Le pont déboucha sur une forêt de bambou : Pandala! L’âme tout existé, je fis mon chemin à travers la flore comme si c’était le fond de ma poche pour finalement déboucher sur mon ancien village. Dès que j’entrai dans le village, une petite pandawa me prit par le bras et se mise à crier :

-Maman, maman c’est la femme dont grand-mère parlait.
-Oh saint Rhum! Vous êtes Symbiosis, l’étrange dame qui apparue sur nos terres il y a 600 ans!!

La femme me serra dans ces bras. Comment connaît-elle mon nom? Qui est-elle? 600 ans? J’étais absolument perdu dans mes pensés, je n’y comprenais plus rien.

-Madame, comment me connaissez-vous? Repris-je
-Je vous en pris, prenez-vous un siège, enchaina-t-elle.

Elle m’apporta un repas et se mise à répondre à ma question. Une légende que leur ancêtre Dragonters avait créée. Il avait raconté la rencontre entre lui et moi-même et de ma promesse de revenir un jour à sa famille comme étant une légende. Depuis ce temps, à chaque génération, cette légende est transmise à chaque membre de la famille. J’étais vraiment surprise, j’étais si importante pour lui? C’est ainsi que mon retour à Pandala ce fut.

Je passai deux autres années sur ces merveilleuses terres. Je passais mes journées avec Dragonhearth, la petite pandawa qui m’avait rapporté à sa mère lors de mon retour au village. Je la considérai comme ma petite sœur, elle était la dernière descendante de Dragonters, donc une descendante de ma famille adoptive. Je lui appris plusieurs choses sur le monde des onze qui est devenu celui des douze selon les rumeurs. Quelques temps plus tard, ayant atteint assez de maturité, elle et moi quittions le village pour retourner sur les terres amaknéennes en quête d’aventure et surtout, protéger les civils des menaces de la guerre.


Dernière édition par Symbiosis le Dim 2 Aoû 2009 - 22:16, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyDim 26 Juil 2009 - 22:10



Dernière édition par Symbiosis le Mar 11 Aoû 2009 - 19:21, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyMar 28 Juil 2009 - 2:21

J'aime beaucoup! Continue j'ai hâte de savoir la suite ^^
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do EmptyMar 28 Juil 2009 - 18:22

J'accroche vraiment, c'est bien écrit, peu de fautes, j'aime vraiment beaucoup. Smile

Continues !
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MessageSujet: Re: L'art du Enu Hop Kuen Do   L'art du Enu Hop Kuen Do Empty

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